Tout le mal pèse et moi, je n'en peux plus,
Cliché du " toi tes perverse, par ce que t'es lesbienne "
Derrières tout ses visage, je me retrouve plus, le faux sourire,
et de vrai pleures. Mais je me cache, je me cache, sous mes délires.
Je ne supporte plus tout ces visages moqueurs, et des " je te râle, mais je te dirais pas pourquoi, mais je te jette des regard noir, je parle de toi, hein ".et puis, il y en a qui régresse tellement que je suis exaspérée..." je suis gothique alors j'me mutile, avec mes griffes sinon ça fais trop mal. j'ai pris mes poignet en photo, mais il y a que les gens qui se mutiles qui peuvent les voirs !! ". Qu'elle est ton problème ? ton mec était tellement fatigué que j'ai essayé de l'aider. C'est un crime ?
et puis, j'en ai marre tout cours... Par ce que je cache mes problème à mes pottes, je n'en ai sois disant plus, par ce qu'ils s'acharnent sur moi, par ce que y en a, que je n'ai jamais aimé...
par ce qu'ils font mal, très mal.
Par ce que j'ai besoin de vacances, de ne plus jamais les revoir.
Un nouveaux dépars, je vais encore une fois partir, m'enfuir, mes pottes, mes amis, mes ennemis, au revoir, comme d'habitude, je ne serais pas là, je ne donnerais plus de nouvelles...
Comme d'habitude, je me lasse, je me taille, et je ne montre plus de signe d'existence...
Pourquoi presque personne ne pense au gueule des autres ? Moi, et les autres, on s'en fous.
Pourquoi les autres s'en foutent des hommes, femmes, enfant qui n'ont pas d'éducations ? Ses gens dans mon école n'ont pas le dernier appareil à la mode, alors râle. Toi, la pauvre artiste ! la pauvre ouvrière, tu es comme ça et tu es synonyme de peste ! On ne pense même pas au autres, et l'anmestie laisse pourir les gay en prison, et qu'une histoire de dollars tue. Je suis peux être pessimiste, mais l'homme est pourris du plus profond de son âme, j'ai aussi besoin de parler, de m'envoler. Et moi, j'ai aussi mal au coeur...
L'homme crée des monstres, l'homme se moque du malheur et du comportement des autres. On crée de nouvelles maladies. Et pour eux, c'est anormal que j'aime une fille. Moi je dis, c'est anormal d'aimer tout cours... Nous somme des bêtes sauvages avec des portables et des vêtements, on se soules, on se tue et on veut tuer. On viole, on jouit. Il y a une perversité dans ce monde mais plus de fraternité, et plus d'honneur. Alors moi je veux partir, partir vite, par ce que je n'en peux plus... Et j'en ai marre de traîner avec ce genre de personne... et j'en ai marre de m'ouvrir tout cours...
Je peux aussi avoir mal vous savez, ça m'arrive...
Cliché du " toi tes perverse, par ce que t'es lesbienne "
Derrières tout ses visage, je me retrouve plus, le faux sourire,
et de vrai pleures. Mais je me cache, je me cache, sous mes délires.
Je ne supporte plus tout ces visages moqueurs, et des " je te râle, mais je te dirais pas pourquoi, mais je te jette des regard noir, je parle de toi, hein ".et puis, il y en a qui régresse tellement que je suis exaspérée..." je suis gothique alors j'me mutile, avec mes griffes sinon ça fais trop mal. j'ai pris mes poignet en photo, mais il y a que les gens qui se mutiles qui peuvent les voirs !! ". Qu'elle est ton problème ? ton mec était tellement fatigué que j'ai essayé de l'aider. C'est un crime ?
et puis, j'en ai marre tout cours... Par ce que je cache mes problème à mes pottes, je n'en ai sois disant plus, par ce qu'ils s'acharnent sur moi, par ce que y en a, que je n'ai jamais aimé...
par ce qu'ils font mal, très mal.
Par ce que j'ai besoin de vacances, de ne plus jamais les revoir.
Un nouveaux dépars, je vais encore une fois partir, m'enfuir, mes pottes, mes amis, mes ennemis, au revoir, comme d'habitude, je ne serais pas là, je ne donnerais plus de nouvelles...
Comme d'habitude, je me lasse, je me taille, et je ne montre plus de signe d'existence...
Pourquoi presque personne ne pense au gueule des autres ? Moi, et les autres, on s'en fous.
Pourquoi les autres s'en foutent des hommes, femmes, enfant qui n'ont pas d'éducations ? Ses gens dans mon école n'ont pas le dernier appareil à la mode, alors râle. Toi, la pauvre artiste ! la pauvre ouvrière, tu es comme ça et tu es synonyme de peste ! On ne pense même pas au autres, et l'anmestie laisse pourir les gay en prison, et qu'une histoire de dollars tue. Je suis peux être pessimiste, mais l'homme est pourris du plus profond de son âme, j'ai aussi besoin de parler, de m'envoler. Et moi, j'ai aussi mal au coeur...
L'homme crée des monstres, l'homme se moque du malheur et du comportement des autres. On crée de nouvelles maladies. Et pour eux, c'est anormal que j'aime une fille. Moi je dis, c'est anormal d'aimer tout cours... Nous somme des bêtes sauvages avec des portables et des vêtements, on se soules, on se tue et on veut tuer. On viole, on jouit. Il y a une perversité dans ce monde mais plus de fraternité, et plus d'honneur. Alors moi je veux partir, partir vite, par ce que je n'en peux plus... Et j'en ai marre de traîner avec ce genre de personne... et j'en ai marre de m'ouvrir tout cours...
Je peux aussi avoir mal vous savez, ça m'arrive...