Elgar ne comprenait pas trop ce qui lui arrivait et cela le gênait, une impression bizarre de picotement dans la tête, d’avoir les yeux sourds, et les oreilles muettes. Il suivait le petit homme, et le dépassait largement d’une tête, son nouveau patron, lui n’arrêtait pas de sourire. Le fait de marcher dans un couloir gris, gris bleu, au mur blanc, remplis de plastique, le rassurait. Il y avait des portes partout, les passent ne le voyait même pas, parfois quelques hochement de tête en direction de Mr Maximilien. Ils entrèrent dans une pièce, elle était remplie d’armoire encastrée de façon très moderne dans les murs. Un décor sombre, quelques fauteuils avec des tables, et bien sur, un écran à sa gauche. À vrai dire, le mur entier était un écran. On y voyait les deux hommes tel un miroir. Elgar en eux un coup de foudre.
- Mon jeune ami ! Pour toi, tu n’aura plus d’uniforme, Les uniformes est pour le peuple. Sur ces derniers mots, Elgar comprit que le mot peuple, sur ce sujet, était une insulte. Il remarqua avec intérêt, que ce ça ne l’intéressait pas.