mad.dream - Ma boite à cafard, Mon placard à remord. Errer et se perdre dans la vie.Univer tridimensionel pixélisé... Ou un Racontage de bêtise. Chacun son point de vue...Cowbloghttp://mad.dream.cowblog.frSun, 18 Nov 2012 20:43:25 +0100180vagueSun, 18 Nov 2012 20:43:00 +0100Sun, 18 Nov 2012 20:43:00 +0100http://mad.dream.cowblog.fr/vague-3216725.htmlmad.dreamSombre nuit,http://mad.dream.cowblog.fr/images/419923338612442856308617187093n.jpg
Je nage en toi.
Aux véhémence de la houle,
Cicatrices des paysages.



Sur l'eau je m'accroupis,
j'en oublie mon émoi.
Le temps lourd, se déroule,
Ici et là quelque barbeaux de passages.



Encore une fois je veut entendre cet oiseau qui rit,
Ou alors est il au comble de son effroi.
Ce n'est pas moi mais le monde qui, autour de moi, coule,
Je suis une métaphore, mais je n'ai pus voir un visage.



                                                                                                                                                                                                                                              photo Corse 2011

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ASSun, 21 Oct 2012 22:28:00 +0200Sun, 21 Oct 2012 22:28:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/as-3212345.htmlmad.dream[22:12:45] Azraël Slenderman: Je sais pas, elle a beau être si dure, il y a quelque chose de sains à la vie
[22:13:51] Azraël Slenderman: C'est nos esprit torturé, le fait qu'on voit la complexité des choses
[22:14:54] Azraël Slenderman: qui peut la rendre malsaine, mais en soit la vie ? Vivre, marcher penser manger, je veux dire.Ce que t'apprend la vie par elle même, je crois pas qu'il y a réellement quelque chose "d'absurde"
[22:15:09] Azraël Slenderman: Ce qui est absurde c'est ce qu'on arrive à voir.


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LostSun, 19 Aug 2012 21:20:00 +0200Sun, 19 Aug 2012 21:20:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/lost-3201429.htmlmad.dreamC'est dans ce jour sans lumières
Le même moment où les astres danses
Guettée par leurs mères, de son regard de cratère.
Je me promène au son sourd de la ville.
les orteils écarquillé, la chaleur époustouflé.
Cet instant le jour sans lumière. 
Assis au creux d'un banc.
Je supporte le poids de mes idées décharnées
La neige, au fond de moi qui fut jadis
Blanche et immaculée.
Je pense.
Les flocons ce lin parfois bleuté, couverture de la terre.
Fond et attrape la poussière.
Assis au creux d'un banc.
Je sens les douleurs de la fatigue.
Je souffre de ressentir.
Le ciel est pourtant mon repos.
La chaleur de l'été mon nid. 
Assis au creux d'un banc.
Toi ! comme moi tu étais un arbre.
Les pieds enraciné comme cette main aiguisée 
Tes cheveux feillus et tes branches dorées, écaillée.
Flirtaient avec les nuages.
Un jour hélas, j'étais comme toi.
Recroquevillée sur toi je vois ton attelle de fer et tes cicatrices de vis.
Tu es bien là sous la chaleur de l'espoir
Les rides qui sont tracés au fond de toi comme les écrits de ta vie. 
Toi mon ami inanimé. 
Tu me rappelles que je suis avide
de m'enfuir pour ne point finir sur/sous des dalles froides.
Aux grand sarcasmes qui se rit de nous et de toujours rester solide.
Tu me rappelles que je m'oublie
tu me rappelles que je suis ici
Je me sens nue sous un dédale de rue.
Mais que je ne suis plus rien,
Je vais nulle pars.
[ Partout mais surtout ailleurs ]
Je suis désolée, je me sens incapable.
j’espère que dans mon rêve petit arbre sous la nuit, dans mon fantasme. 
Tu comprends que je suis dans ton monde.
Et plus jamais dans le leurs.
La solitude est mon atout, les gens me font peur.
et chaque fois que tu me recroisera tu m'accompagnera.
 


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SchémaTue, 03 Jul 2012 14:13:00 +0200Tue, 03 Jul 2012 14:13:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/schema-3194212.htmlmad.dreamNon, je pense tout de même être sortie de mon schéma dépressif. 
C'est juste que peut être, mes deux aimants sont la vie, sont la mort
Et que c'est ce qui me permets un équilibre.


http://mad.dream.cowblog.fr/images/GZ244.jpg]]>
vielle adolescenceMon, 02 Jul 2012 00:32:00 +0200Mon, 02 Jul 2012 00:32:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/vielle-adolescence-3193926.htmlmad.dreamhttp://mad.dream.cowblog.fr/images/kubrick02.jpg



















Je prends des médicaments pour dormir,
sinon, les ombres de la nuit me rendent visite,
ce n'est pas une imagination infantine,
mais mes nerfs à vifs.


Pourtant je les prends bien tard
La nuit m'éffraye,
et les pilules me font peur.

ces neuroleptiques cauchemardesques,
le soir, quand je dors,
mes rêves me hantent.

Mes insomnies volontaires. 
J'en ai marre de geindre,
pourtant je continue à le faire.

Je suis fragile ou brisée,
je n'en ai aucune idée.

Une chose est sûre je le sais,
mes angoisses, mes douleurs,
vous sont parfois insoutenable. 
pénible, c'est à personne de les porter

Alors, a personne je ne veux en parler
et a tout le monde virtuel, intéressé.


Vielle adolescence
 
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InsomniesSun, 01 Jul 2012 01:19:00 +0200Sun, 01 Jul 2012 01:19:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/insomnies-3193790.htmlmad.dreamHeather,
Je connais une partie de toi dont tu ne dois plus te souvenir,

Elle fait partie de toi, mais elle n'existe plus,
                                                                par ce que moi seul en aie le
souvenir.
Je devrai l'oublier et l'offrir au vent et a la cendre,
Mais plus je sens le temps venir,
et de moins en moins j'y arrive.
                                             Peut être que maintenant,
c'est mon propre personnage, qui porte ce costume.
                                                         Et lamentablement,
il me fait jouer deux rôles,
Celui du fuyard,
souriant sur les couleurs de son masque,
Et celui du miroir, la vitre brisée et sans un sous à l'âme.
Mon désarrois, mon vrai visage.

À quoi bon venir rechigner ?
je ne veux pas montrer l'image d'un martyre,
ni d'une trouble envie,
                                   vide de raison,
                                                              à la pendaison.

pour une faible mélancolie, me voilà bien bas !
                                                               c'est bien banal !

Je me demande bien pourquoi, dans ce souvenir,
j'ai l'impression de garder une plume de la vie,
                                         de ceux qui la laissent partir

Pourquoi je dois subir mon propre désir ?
                          Et ce besoin irrésistible,
                                       de ce que j'essaye maladroitement d'écrire,
J'aurai dû dès le dépars, rester un fugitif,

                                                                          et ne rien faire découvrir.
Ah ! Ce monstre intrépide !
                                          j'aurai du me taire,
                                                                          jouer le pantin impassible ? 
Ah ! Ce démon aride ?
                                   Mon cœur ne serait rester que plus muet,
                                                                     Me voilà bien seul et solitaire,
Face aux géants, aux djinns,
                                            Voilà, eux, mon passé,
                                                                             mon présent, mes faux semblant,
hurlant la vérité, à mes oreilles blessées.
Je me rends compte, je commence,
C'est ainsi que j'ai compris que la dernière personne à qui je voulais le dévoiler,
                                                                  Était ce à moi même, je me suis abusée.

                      Je ne serai l'expliquer, je me demande ce que j'ai.
    J'ai peur, je suis effrayée, et tel un enfant, j'aimerai expier,

ce que je crois être mes péchés.

Je m'en veux de cette émotivité,
Ma sensibilité, tel une feuille morte et atone d'automne,
qui coule sous le son, des vagues et des sillons désorientés.

Je regrette, je ne voudrai ne rien te faire assumer.
                                                                Je t'aime,
et avidement, mon corps, mon tout, mon être, ne me fais que le clamer,
en vain, encore, en perte, de moins en moins le souhait, le besoin de le dissimuler.
amèrement, je me sens coupable loin de moi l'acte de te le faire endosser.
                                                      Une ambition lointaine, tapit, de s'effacer.
Mais aujourd'hui, sans m'avertir, sans pensées,  ma carcasse, mon squelette,
_                            Me fait te le conter.

 

Musique
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ghost ?Sat, 30 Jun 2012 23:33:00 +0200Sat, 30 Jun 2012 23:33:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/ghost-3193779.htmlmad.dream" Dans la solitude nocturne, vous voyez passer les mêmes fantômes. Comme la nuit s'agrandit quand les rêves se fiancent. "


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?Sat, 26 May 2012 21:33:00 +0200Sat, 26 May 2012 21:33:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/article-3187407.htmlmad.dreamhttp://mad.dream.cowblog.fr/images/53750838789087126179810000122665321811290791302964676n.jpg
Mai 2012

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Mad dreamFri, 18 May 2012 23:00:00 +0200Fri, 18 May 2012 23:00:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/mad-dream-3186219.htmlmad.dream
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" La différence entre toi et moi, et que tu as et eux le choix.  Et les choix que j'ai eux, je les ai tous bousillé. Maintenant, je n'ai nul pars le choix. On dicte ma vie, le tempo, et on m'en critique encore. Je n'ai pas le droits de donner mon avis sur moi même. Je ne peu rien faire d'autre qu'attendre, et d'avoir l'argent nécessaire pour me barrer. ou de m'en aller seule tout de suite, et de planifier qu'on ne me retrouve pas le lendemain. Ou encore retenter de me tirer une balle. Je suis en colère, et depuis que je suis sortie de l’hôpital, rien  ne me rassasie,  rien ne me dis que c'est pour ça que ça vaut la peine de vivre. " Article, coup de téléphone. Aout 2010.

C'était y a deux ans. Depuis, j'ai terriblement grandie. Je suis devenue responsable, je continue et je tiens mes études. Je travaille, encore et encore. En bref, je me suis façonnée une vie. Mais depuis, j'ai fais le choix, de ne pas avoir le choix, pour garder ma liberté, pour me créer une vie Extérieur. Je suis sortie de mon long cycle de déprime (je crois). Mais je reste encore terriblement fatiguée, dans mon âme. Mais pourquoi, pourquoi dois-je encore me battre ? Vivre. Vivre. C'est tout ce qui compte. Vivre, encore et encore. Le plus longtemps possible. Pour retrouver, encore une fois, la sensation, la sensation de... Je ne sais plus. Pourquoi mes rouages sont encore déplacé, pourquoi ne peuvent-il toujours pas fonctionner ? Pourquoi ai-je si peur, et pourquoi ai-je si difficile ? Je pensais avoir avancée, avoir trouvée ma voie. Peut être ne la trouve-t-on jamais.

Vie ! Vie, en trois lettre, je t'aime, autant que ma haine.
Et c'est pour ça que je continue à me lever, chaque matin, me détachant du pays des rêves.
Pour réussir, un jour, pour réussir, un jour. A pouvoir accepter, d'exister, et seulement pour moi même.


Si je n'en parle à aucun de mes proches, c'est de peur de les inquiéter ou de m'inquiéter moi même ?
Je me sens. 
Je me sens ?



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Elgar 4Thu, 17 May 2012 19:15:00 +0200Thu, 17 May 2012 19:15:00 +0200http://mad.dream.cowblog.fr/elgar-4-3186005.htmlmad.dream 
Elgar ne comprenait pas trop ce qui lui arrivait et cela le gênait, une impression bizarre de picotement dans la tête, d’avoir les yeux sourds, et les oreilles muettes. Il suivait le petit homme, et le dépassait largement d’une tête, son nouveau patron, lui n’arrêtait pas de sourire. Le fait de marcher dans un couloir gris,  gris bleu, au mur blanc, remplis de plastique, le rassurait.  Il y avait des portes partout, les passent ne le voyait même pas, parfois quelques hochement de tête en direction de Mr Maximilien. Ils entrèrent dans une pièce, elle était remplie d’armoire encastrée de façon très moderne dans les murs. Un décor sombre, quelques fauteuils avec des tables, et bien sur, un écran à sa gauche. À vrai dire, le mur entier était un écran. On y voyait les deux hommes tel un miroir. Elgar en eux un coup de foudre.
 - Mon  jeune ami ! Pour toi, tu n’aura plus d’uniforme, Les uniformes est pour le peuple.  Sur ces derniers mots, Elgar comprit que le mot peuple, sur ce sujet, était  une insulte.  Il remarqua avec intérêt, que ce ça ne l’intéressait pas.

 - Il n’y a pas d’uniforme, pour ton métier, juste une gamme de vêtement acceptable. Tu verras, il y aura un grand choix, pour toi.  Maintenant, je vais modifier tes  paramètres.
Il était en face de l’écran, et ne le toucha pas, manipula quelques extravagances avec ses mains et il y avait d’un coup la photo et l’identité de notre jeune héro. Elgar s’approcha, il y avait une panoplie de vêtement, très bien taillée, d’une élégance qui toucha profondément,  il y avait d’autre catégorie de vêtement, Elgar n’y faisait même pas attention.
-       Tu peu choisir la couleur.
-       Noir.
Maximilien rit.
-       Ne soit pas si pressé ! C’est toi qui choisira tout cela, Je vais te choisir par exemple ce costume.
Maximilien claqua des doigts et Elgar se vit, lui-même avec les vêtements. il se retourna, tourna sur lui-même, tout en regardant ce miroir factice, et sourit, sourit sincèrement. On pouvait presque y voir ses dents. Toute cette scène le rendait, un je-ne-sais-quoi, de bonheur. Il oublia sur le coup son enfance, sa chambre miteuse, ses longues nuits sans dormir à cause des maux de ventres que lui provoquait parfois la faim.  Et il se voyait là, en costar cravate rouge et noir. Se dandinant presque sur un pied. Et ne vécu seulement cela, pour  l’espace d’un temps qui durait quelques minutes. On pense souvent que plus on s’amuse, moins le temps est long. Et que plus on s’ennuie, plus le temps se rallonge. On pourrait considérer le temps comme un élastique qui rétrécit, s’étire, se renforce et se rallonge au fur et a mesure qu’on le regarde. Mais dans le monde il n’était rien de cela. Dans ce monde là en tout cas. Le temps n’est pas unis, Le temps n’est pas une conception. Mais plutôt existeraient-il plusieurs millions de temps, un pour (presque) chaque humain. Chaque temps, qui grandit avec son hôte, évolue, et vieillit. Ce n’est pas non plus une entité personnelle, non, ce ne serait que… Un peu comme les yeux. Ils sont vivant,  font partit de nous,  mais nos yeux ne commenceront jamais à parler par eux même, ou disparaître de leurs plein grès du jour au lendemain. Comme les yeux font partit de notre corps, le temps fait partie de nos âme. Chaque humain vit donc avec son temps. Qui évolue autant que nos âme, et n’allez pas croire que chez lui tout es inné. On ne ressent pas toute les sensations à notre naissance.  Comme la honte par exemple. Avez-vous déjà vus un bambin avoir honte ? avez-vous déjà vus un nouveaux né, montrer une honte profonde à sa mère ? Ou a son berceau ? Le temps, c’est la même chose. Et à cette instant précis, dans sa courte/longue vie, Elgar son âme et le temps, on découvert une nouvelle sensation. Une sensation d’extase. Mais pas l’extase que tout le monde ne connaitrait. Une sous-couche que seulement quelques rares personnes à l’échelle humaine on fait expérience. Les minutes n’ont pas filées à toute allure, elle ne ce sont pas allongée non plus. Elles ont durée une éternité. Maximilien, lui ne vit pas le temps passer, attendit quelques minute  respectant la joie de son jeune client, et finit par doucement lui dire pour ne pas trop le troubler.
 -       Prends ton temps pour choisir ton vêtement. Si tu ne comprends pas les commandes, parle à l’écran, il te comprendra. J’ai des choses à faire. Tape trois fois des mains, pour m’appeler, quand tu aura finis.
Elgar  sortit tout de même brutalement de son extase, sous le choc, regardait son interlocuteur comme si c’était un étranger, venu d’un pays que personne ne connaissait,  taper sur l’épaule d’Elgar en criant << Salut mon pote ! Ca fait un bail ! Qu’a tu fais depuis ? >>. Elgar commençait à se rendre compte qu’il n’était que sur un pied, et que son tuteur était déjà partit.  Il reprit ses esprits, s’assit sur son fauteuil et regarda longuement chaque vêtement dans la catégorie  ‘‘Dandy’’. Au bout de plusieurs heures, il choisit un pantalon de velours noir, qui tombait de façon parfaite sur ses jambes.  Des chaussures avec de discrets talon couleur cendre.  Une chemise en soie mauve, brodée subtilement, sous un gilet (gris profond) avec des détails uniques.  (Il avait découvert une option qui lui permettait quelques retouches sur les vêtements). Et une veste de costume, en mélange d’époque, des épaulettes, une coupe qui le revenait prêt de la taille, et qui s’allongeait encore un peu par la suite. Elle ressemblait à un costume du 18 eme, fusionnant avec notre époque.  Elgar le trouvait très beau, son ensemble, et n’avait pas conscience d’avoir une allure très sombre.  Pour lui il était remplit de couleurs, de joie et de gaîté. Il prit des lunettes rondes cette fois-ci teinte en bleu, pour cacher la couleur de ses yeux. Il fit la confirmation de sa commande. Derrière lui, la vitre d’une armoire clignota, et elle s’ouvra.  Comme un tiroir glissant, et il y trouva ses nouveau vêtements. Il se changea, plia son uniforme, et le posa sur sa table. Se regarda encore une fois. Maintenant qu’il avait réellement ses vêtements. Il se sentit d’un coup vieux très vieux. Il appela son nouveau maître. Oui, maître, cela lui allait bien. Elgar se savait déjà sous l’emprise de son pouvoir.  Même si il ne prononcera jamais ces mots. Il se savait contradictoire, mais il se savait… Il se connaissait assez pour savoir que c’était un homme libre. Au final, ce n’était qu’une emprise pour la forme, que cet homme lui menait. 


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