Lundi 12 mars 2012 22 50

Maintenant que je n'ai plus une après midi à moi, entre les cours et le nouveau travail.
Je me dis que le travail est une autre façon que de faire l'amour ou de se droguer, pour user de son corps.
( non pas dans le sens péjoratif. )

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Un test d'illustration des images que j'ai dans la tête...
 

Dimanche 25 décembre 2011 23 41

  Je ne sais pas comment l'écrire, et encore moins le dire. Je ne sais pas comment me sentir, comment expier mes pensées. Début décembre, j'apprend que tu es mort, toi l'artiste. Tu m'as fais de la peine, et tu ne le saura jamais. Tu m'as mise en colère, et je ne pourrais te le dire. Je me demande encore si c'était par désespoir ou mélancolie... Ou par lubie; que tu as eux cette idée, cette idée joyeuse de sauter d'un pont. J'en suis encore parfois sous le choc, que tu ais réussis à me donner une pars de ta vie, et de voler une partie de la mienne. Je ne dirai pas, je ne t'oublierai jamais, je ne dirais pas, tu restera toujours dans mon coeur.  Je ne sais pas, ce que tu pensais de moi. Cette réflexion, je l'ai déjà fais, je ne sais pas pourquoi je l'écris. J'en veux à la vie, de m'apprendre les choses de cette façon là. Je ne sais pas si je lui en veux encore. 

Mi décembre, Examen, Et hôpital. La même semaine, les mêmes journées. Cela me fait rire, me donne un sourire amer. De savoir que j'ai des maladies hypothétiques, mais qu'on ne cherche pas à savoir si je les aies vraiment. Que j'aurai de toute façon mal à vie. Que mon seul choix serait de prendre Trois antidouleurs par jour, les jours où cela devient insupportable ( Ce que je refuse de faire. ). L'ironie de moi même, l'ironie de la vie. C'est triste à dire, difficile à expliquer. A quels point la vie nous joue des tour, à quel point sa se joue de nous, de nous même, avec l'âme et la conscience d'un d'un enfant, qu'on ne peut jamais véritablement en vouloir. 

Fin décembre, Lavender... Il ne faut pas qu'elle devienne l'ombre d'elle même, qu'elle puisse tenir, le bonheur et la vie, dans ses mains, et le rendre. Sans (Auto)destruction, sans fascination de la chute aussi belle puisse-t-il être dans un gouffre d’abîme. Sans admiration des scènes macabre et noir, comme les cendres. Mais serais-ce vraiment elle ? Et tout ceci est il possible ? A quand le bonheur ? A quand remontre le bonheur de parler à une coccinelle ? De sentir l'herbe sous ses pieds, d'avoir encore assez de nez pour pouvoir apprécier l'odeur de l'été ? En bref, de s'extasier, de sincérité, de légèreté, et honnêteté. La race de L'Homme resterait  il pour protéger l'âme des enfants ? Mais que cela signifie ?

Que voulez vous dans le fond des tripes ?
Que ressentir devant sois même et de nos petit yeux, qui ne voient qu'une partie du tableau de la vie.
Mais pourquoi, mais pourquoi tout cela ?

Je ne cherche pas quelque chose de mieux ni de pire,
mais peut être de plus compréhensible. 

 

Mais pourquoi, pourquoi tout cela ? 


 

 

 

Dimanche 6 novembre 2011 22 12

Toute les étoiles se sont écorchée la gueule,
Et je n'ai pas voulus le voir.
" Tu es le calme de mes tempêtes,
le regret de mes exploits lorsque tu n'es pas là..."

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Je vais mal, je vais mal, je vais mal.
Aujourd'hui, je lui ai demandée comment réagir lorsqu'on se faisait plaquer.
J'avais oubliée ce que je devais faire. Penaud comme je suis. 
Après tout je l'aime quand même. Oui je l'aime. 
Mais mon passé me hante. Est ce peut être la seule chose qui m'atteigne encore.
J'ai oubliée comment pleurer aussi. 
Ceci je n'ai pas osée lui demander, celle qui ma consolée.
J'ai recherchée son odeur, mais le problème, c'est que je ne sens et ressens plus rien.
Pourtant je les aimes, ou je les ai peut être aimée...
Je n'en sais rien...

 


Lundi 17 octobre 2011 22 11

Il y a des jours, où je n'arrive plus à aimer mon prochain, comme l'autre à dit. 
Il y a des jours... Je vais bientôt pouvoir recommencer à écrire Je le sens.   
Tout recommence, encore... Et encore                                                

Il ne faut pas se méfier des autres, mais de leurs folies.
C'est ce que j'ai appris Aujourd'hui.

Il m'a demandé du feux, il m'a dit bonjour, on c'est présenté. Je l'ai dessinée.
il a dit que moi, j'avais des yeux pour voir, que ça faisait un moment qu'il m'avait vus.
Par ce que moi aussi j'avais un cœur. 
Que les autres avait peur de nous deux, mais que nous faisions pas peur.

Que c'est nous, qui n'étions pas fous.
Je l'aimais bien.
Ceci fut dit.
Il à voulut que je l'aide à écrire un e-mail d'indignation.
Je l'ai aidée.
Il voulait l'écrire au président des états-unis. 
Je suis partie.


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Au fait, Bonhomme, je n'ai pas oubliée ton existence.
 

Jeudi 13 octobre 2011 20 07

 

Monster : Je t'ai appelée, mais je ne pensais pas que tu allais décrocher.
Lavender : Je ne pensais pas que j'allais répondre... 

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Pense-tu qu'un jour, tout ce jeux absurde aura une fin ?
Non, je ne crois pas, sinon il n'y aurait plus de raison de vivre.
peut être. 
 

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