C'est une surdose de frustration, mélangée par la mélancolie. Plus rien n'est satisfesant, les pensées sales et honteuse; se mélangent avec les picots qui me traverse l'oesophage. C'est l'univers dans ma tête qui veut tricoter sur mes entrailles. C'est une insatisfactions au moment où je vis au plus haut points dans cette vie récement conçue. Un paradoxe trop présent. J'éfleure les lèvres de la solitude, caresse mes idées sombres. Un désir (mal)sains sur de sombres envies. Je monte l'escalier de mes rêves, pour faire une base de mes faux éspoirs. Je repousse ce qui me tiens le plus à coeur, et ce que j'aime m'écoeur. -
J'aimerai aussi, prendre des aiguilles et les planter dans mon coeur -. Je m'obsède à vouloir contrôler le temps, qui pars moment avance à une allure imposante. Auto-déstruction et lobotomie précosse. Mixer les émotions, inaheler le néant. Je n'arrive plus à suivre, J'ai peur de ma propre lassitude. Lasse, Lasse de vivre, lasse de les suivres, lasse de l'entendre, lasse de ne pas savoir ce que j'attends, lasse de l'ennuis omniprésent. et j'ai cette sensation qui revient, un désir de fuir, ne rien prendre, laisser ma mémoire de côter, pour une amnésie sur un long voyage. Et encore cette obsessions, de vouloir m'arracher les yeux,
m'écorcher le coeur, découper ma chair. Je me sens sans valeur, valeur à punir. Conscience déchue, Je m'en veux. Me raccrocher à eux, les décrocher les faire choirs. Me salir, non, encore, Se salir... Sale, Sale. Péstifirer sa beautée interieur... . Ne pas savoir, ne pas comprendre, ne pas savoir, ne pas comprendre. J'aimerai construire sur les belles bases qu'on m'offres, Leurs offrir ce qu'ils (elle) attends... Mais non... Impression qu'on me surestime, impression de surestimer. Viser beaucoup trop haut. Hésiter... puis, énantir les bases si difficilement construire. Pour quel raison ? Mais pour quelle raison ai-je envie de repousser ce qui commence à être les seuls choses que je batit ? Plus rien d'autre ne m'as d'importance. Ce détacher de tout, Ce vendre pour n'importe quoi. Ne plus réfléchir, ne plus rien comprendre. Tout détruire, tout détruire. Brûler son écorcher vifs. Ce laisser mourir, Sans aucune force de vouloir vivre. Trembler, se durcir, renferme toi, renferme toi. Ne comprends rien, il n'y a rien à comprendre. se sentir ridicule. Chercher ce que l'on voudrais. Se planter.
se sentir ridicule, s'auto-détruire, se sentir coupable, se lasser, un peu trop vite.
Peur, peur de vieillir, peur de revivre, peur de mourir, peur de bouger, peur de détruire ce que l'on est en train de perdre de faire perdre.
Vouloir être seule, un long moment, vouloir arrêter le temps, ne pas vouloir que le soleil se couche, ne pas vouloir savoir qu'il se lévera, vouloir éxplorer la lune,
vouloir être seule sans vouloir ressentir un manque. Vouloir éxplorer ailleurs, pour ne plus devoir supporter "ici". S'échapper de ses rêves. S'échapper de ce que l'on aime. Vouloir être seule, mais ne pas vouloir les perdres, pas encore. ne pas vouloir se batir seul. vouloir les sentir là, sans vouloir les voir. Peut être dormir au creux de leurs coeur, mais pour ne jamais se reveiller. Vouloir dormir... c'est ça... Anhéstesier la brutalité que tu offre à ton coeur. Surmener son coeur. pour le plaisir de le voir souffrir. Pour le "plaisir" de se sentir fous, le masochisme de cette histoire, le pathétique de mes pensées. L'insatisfaction, de la satisfaction.