Défouloir •
- Tu n'en a rien à foutre.J'affabule ? tu m'a pris et sucée jusqu'à la moelle. J'affabule ? J'ai crus sortir cette phrase de ma tête, Mais c'est toi même qui me la écris, il y a quelques temps. Tu enjolive tout, mets quelque note sur les côtés. Sinon, la vie serait bien moche... Masochiste ? Tu crois. Juste follement amoureux de toi... Mais c'est finis, nous avoir toujours mis en suspens, juste pour me garder, Juste pour garder tes envies sur moi. tes lettres sont remplies de prétentions maintenant. Hautaine ! ( ou même tes paroles, parlant de moi, t'expliquant. ) T'en rends-tu compte ? Pour le nombres que tu m'en a donné dernièrement, aussi... Il y a encore si peu,C'était différent, je ressentais le désir et la passions, nous étions deux à nous manquer. Tu ressentais de l'admiration. Je n'étais que la poésie dans ta vie. C'est bien beau. mais pas pour moi. Maintenant, je suis là seule à m'énerver, à me lamenter. Tu m'as terriblement manqué de respect. Tu avais le droits de tout faire de moi. Sauf de te payer de ma tête. Et ce jour là, tu m'as raconté que j'ai failli t'étrangler. C'est bien moche, les colères, quand on garde tout beaucoup trop longtemps. Je n'allais pas te faire de mal, juste te faire peur. Mais si seulement je m'étais souvenus, d'avoir posée ma main sur ta nuque. Je me souviens d'avoir écartée la cigarette allumée, posée sur ta chevelure. Et d'avoir crié. tu m'as chassé. Quelque temps après, Je m'en vais travailler à l'étranger. pendant un moi. Tu me dis que je te manque, Tu me dis que tu m'aime. Tu viens me voir dès que l'avion c'est posé. Ta troisième phrase fut " Je m'en vais déménager avec elle. ". Croyant partager ta joie avec moi. Tu fus même étonnée que je soupir. Tu es naïve. Et jusqu'à mon " accident ". J'étais à la hauteur de tes espérance, toujours et tout le temps. Maintenant,Tu me surestime ou tu as compris m'avoir surestimé... Je suis partagé, la moitié du temps, je ne dis rien, et je fais semblant d'aimer la façon dont tu m'offre les choses. et les autres, Je crie t'en vouloir. Bien sur il y a toujours des moments ou je m'amuse beaucoup. J'y peux rien. Te voir me donne toujours cette présence qui me manque, même dans le pire des cas. Sauf que maintenant je suis partagée entre se sentiment et de tout détruire autour de moi. Sauf les moment de plus en plus courant, d'être à côté de toi, et de ne pas piger que tu es là devant moi. Je n'arrive plus à te parler, et à m'exprimer avec toi. Mais je ne suis plus jamais seule avec toi. ( et je ne sais même pas si sa changerai beaucoup de chose. )je te répète toujours et même refrain, C'est bien dommage que je ne puisse passer à côté. Mais je ne peu pas arrêter d'aimer en changeant de chemise, je ne peu pas changer mes pensée selon mes désirs. Et ce n'est même pas de ta faute. Ce n'est pas faute d'avoir essayée pour toi. Tu m'as dis qu'il y a peu de chance que je te revienne, mais qu'un " kidnapping" était toujours possible. j'en suis incapable avec les moyens que j'ai. Tu as toujours voulus que je grandisse, et je ne l'ai jamais compris. Je me disais " Je pourrai grandir, et je grandirai, quand je serai auprès d'elle. quand j'aurai une base stable avec toi. Et l'échange que j'aurai avec une personne sera, comme j'en suis cappable de donner. " et ça, je ne sais pas si tu l'avais compris. Mais malgrès tout, je suis quelqu'un comme tout le monde, par moment un peu trop oisive. Et ce n'est pas convenable de vivre avec quelqu'un comme moi. Et tu peu supporter toute ma peine du monde. Et pas à elle. Tu as compris que l'amour que tu me donnais n'étais pas toujours beau et noble, sincère et tellement prenant. Je ne sais pas comment tu m'as aimée, je ne sais pas comment tu m'as voulue, et je ne sais pas comment tu m'as considérée. Et tu ne me là jamais clairement expliquée. Tu me dis ne pas trop l'avoir su toi même. Sinon tout serait plus simple.
tu me l'a bien montrée, et c'est ce que tu veux.
Que maintenant, tout es finis.
Tes désirs sont des autres, (ordres.)
Tout es contradictoire dans ma tête,
Je ne crois pas penser réellement la moitiée de ce que j'ai écris en vouloir sur toi.
même si je ressasse toujours, je n'arrive pas à t'en vouloir à long therme.
tout le doute s'empare de moi, même celui de penser douter pour rien.
La difference entre toi et moi, et que tu as et eux le choix. Et les choix que j'ai eux, je les ai tous bousillé. Maintenant, je n'ai nul pars le choix. On dicte ma vie, le tempo, et on m'en critique encore. Je n'ai pas le droits de donner mon avis sur moi même. Je ne peu rien faire d'autre qu'attendre, et d'avoir l'argent n'ecessaire pour me barrer. ou de m'en aller seule tout de suite, et de planifier qu'on ne me retrouve pas le l'endemain. Ou encore retenter de me tirer une balle. Je suis en colère, et depuis que je suis sortie de l'hopital, rien ne me rassasie, rien ne me dis que c'est pour ça que ça vaut la peine de vivre. même là je raconte de la merde. la chose qui m'empêche de me faire du mal, est que je suis enchaînée, dans le sentiment de faire mal, et heurtée la vie de tout ce à qui je compte. Que depuis ma tentative, le père de ma plus grande amie, et la mère de mon plus grand amis, On tenté de le faire. en aucun cas, même que 5 secondes, je ne veux revoir leurs réactions, et leurs pleurs. pour l'instant, j'en suis incappable.
Je veux tellement arrêter d'aimer.
Mais c'est tellement fort,
Que je risquerai de t'attendre encore longtemps...
Pour rien.
- Tu n'en a rien à foutre.J'affabule ? tu m'a pris et sucée jusqu'à la moelle. J'affabule ? J'ai crus sortir cette phrase de ma tête, Mais c'est toi même qui me la écris, il y a quelques temps. Tu enjolive tout, mets quelque note sur les côtés. Sinon, la vie serait bien moche... Masochiste ? Tu crois. Juste follement amoureux de toi... Mais c'est finis, nous avoir toujours mis en suspens, juste pour me garder, Juste pour garder tes envies sur moi. tes lettres sont remplies de prétentions maintenant. Hautaine ! ( ou même tes paroles, parlant de moi, t'expliquant. ) T'en rends-tu compte ? Pour le nombres que tu m'en a donné dernièrement, aussi... Il y a encore si peu,C'était différent, je ressentais le désir et la passions, nous étions deux à nous manquer. Tu ressentais de l'admiration. Je n'étais que la poésie dans ta vie. C'est bien beau. mais pas pour moi. Maintenant, je suis là seule à m'énerver, à me lamenter. Tu m'as terriblement manqué de respect. Tu avais le droits de tout faire de moi. Sauf de te payer de ma tête. Et ce jour là, tu m'as raconté que j'ai failli t'étrangler. C'est bien moche, les colères, quand on garde tout beaucoup trop longtemps. Je n'allais pas te faire de mal, juste te faire peur. Mais si seulement je m'étais souvenus, d'avoir posée ma main sur ta nuque. Je me souviens d'avoir écartée la cigarette allumée, posée sur ta chevelure. Et d'avoir crié. tu m'as chassé. Quelque temps après, Je m'en vais travailler à l'étranger. pendant un moi. Tu me dis que je te manque, Tu me dis que tu m'aime. Tu viens me voir dès que l'avion c'est posé. Ta troisième phrase fut " Je m'en vais déménager avec elle. ". Croyant partager ta joie avec moi. Tu fus même étonnée que je soupir. Tu es naïve. Et jusqu'à mon " accident ". J'étais à la hauteur de tes espérance, toujours et tout le temps. Maintenant,Tu me surestime ou tu as compris m'avoir surestimé... Je suis partagé, la moitié du temps, je ne dis rien, et je fais semblant d'aimer la façon dont tu m'offre les choses. et les autres, Je crie t'en vouloir. Bien sur il y a toujours des moments ou je m'amuse beaucoup. J'y peux rien. Te voir me donne toujours cette présence qui me manque, même dans le pire des cas. Sauf que maintenant je suis partagée entre se sentiment et de tout détruire autour de moi. Sauf les moment de plus en plus courant, d'être à côté de toi, et de ne pas piger que tu es là devant moi. Je n'arrive plus à te parler, et à m'exprimer avec toi. Mais je ne suis plus jamais seule avec toi. ( et je ne sais même pas si sa changerai beaucoup de chose. )je te répète toujours et même refrain, C'est bien dommage que je ne puisse passer à côté. Mais je ne peu pas arrêter d'aimer en changeant de chemise, je ne peu pas changer mes pensée selon mes désirs. Et ce n'est même pas de ta faute. Ce n'est pas faute d'avoir essayée pour toi. Tu m'as dis qu'il y a peu de chance que je te revienne, mais qu'un " kidnapping" était toujours possible. j'en suis incapable avec les moyens que j'ai. Tu as toujours voulus que je grandisse, et je ne l'ai jamais compris. Je me disais " Je pourrai grandir, et je grandirai, quand je serai auprès d'elle. quand j'aurai une base stable avec toi. Et l'échange que j'aurai avec une personne sera, comme j'en suis cappable de donner. " et ça, je ne sais pas si tu l'avais compris. Mais malgrès tout, je suis quelqu'un comme tout le monde, par moment un peu trop oisive. Et ce n'est pas convenable de vivre avec quelqu'un comme moi. Et tu peu supporter toute ma peine du monde. Et pas à elle. Tu as compris que l'amour que tu me donnais n'étais pas toujours beau et noble, sincère et tellement prenant. Je ne sais pas comment tu m'as aimée, je ne sais pas comment tu m'as voulue, et je ne sais pas comment tu m'as considérée. Et tu ne me là jamais clairement expliquée. Tu me dis ne pas trop l'avoir su toi même. Sinon tout serait plus simple.
tu me l'a bien montrée, et c'est ce que tu veux.
Que maintenant, tout es finis.
Tes désirs sont des autres, (ordres.)
Tout es contradictoire dans ma tête,
Je ne crois pas penser réellement la moitiée de ce que j'ai écris en vouloir sur toi.
même si je ressasse toujours, je n'arrive pas à t'en vouloir à long therme.
tout le doute s'empare de moi, même celui de penser douter pour rien.
La difference entre toi et moi, et que tu as et eux le choix. Et les choix que j'ai eux, je les ai tous bousillé. Maintenant, je n'ai nul pars le choix. On dicte ma vie, le tempo, et on m'en critique encore. Je n'ai pas le droits de donner mon avis sur moi même. Je ne peu rien faire d'autre qu'attendre, et d'avoir l'argent n'ecessaire pour me barrer. ou de m'en aller seule tout de suite, et de planifier qu'on ne me retrouve pas le l'endemain. Ou encore retenter de me tirer une balle. Je suis en colère, et depuis que je suis sortie de l'hopital, rien ne me rassasie, rien ne me dis que c'est pour ça que ça vaut la peine de vivre. même là je raconte de la merde. la chose qui m'empêche de me faire du mal, est que je suis enchaînée, dans le sentiment de faire mal, et heurtée la vie de tout ce à qui je compte. Que depuis ma tentative, le père de ma plus grande amie, et la mère de mon plus grand amis, On tenté de le faire. en aucun cas, même que 5 secondes, je ne veux revoir leurs réactions, et leurs pleurs. pour l'instant, j'en suis incappable.
Je veux tellement arrêter d'aimer.
Mais c'est tellement fort,
Que je risquerai de t'attendre encore longtemps...
Pour rien.
Je goûterai à d'autre lit, toucherai d'autre visages,
emagazinera d'autre voix, et déchifrera leurs nuance.
Et cherchant, où tout est possible, une odeur qui ressemblera à la tienne
Juste pour avoir la sensation, d'y goûter encore.
de pouvoir l'emprisoner entre mes doigts.
emagazinera d'autre voix, et déchifrera leurs nuance.
Et cherchant, où tout est possible, une odeur qui ressemblera à la tienne
Juste pour avoir la sensation, d'y goûter encore.
de pouvoir l'emprisoner entre mes doigts.
Et je suis désolée, D'avoir été aussi naze.
Et de ne pas avoir servit à grand chose.
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