Mi décembre, Examen, Et hôpital. La même semaine, les mêmes journées. Cela me fait rire, me donne un sourire amer. De savoir que j'ai des maladies hypothétiques, mais qu'on ne cherche pas à savoir si je les aies vraiment. Que j'aurai de toute façon mal à vie. Que mon seul choix serait de prendre Trois antidouleurs par jour, les jours où cela devient insupportable ( Ce que je refuse de faire. ). L'ironie de moi même, l'ironie de la vie. C'est triste à dire, difficile à expliquer. A quels point la vie nous joue des tour, à quel point sa se joue de nous, de nous même, avec l'âme et la conscience d'un d'un enfant, qu'on ne peut jamais véritablement en vouloir.
Fin décembre, Lavender... Il ne faut pas qu'elle devienne l'ombre d'elle même, qu'elle puisse tenir, le bonheur et la vie, dans ses mains, et le rendre. Sans (Auto)destruction, sans fascination de la chute aussi belle puisse-t-il être dans un gouffre d’abîme. Sans admiration des scènes macabre et noir, comme les cendres. Mais serais-ce vraiment elle ? Et tout ceci est il possible ? A quand le bonheur ? A quand remontre le bonheur de parler à une coccinelle ? De sentir l'herbe sous ses pieds, d'avoir encore assez de nez pour pouvoir apprécier l'odeur de l'été ? En bref, de s'extasier, de sincérité, de légèreté, et honnêteté. La race de L'Homme resterait il pour protéger l'âme des enfants ? Mais que cela signifie ?
Que voulez vous dans le fond des tripes ?
Que ressentir devant sois même et de nos petit yeux, qui ne voient qu'une partie du tableau de la vie.
Mais pourquoi, mais pourquoi tout cela ?
Je ne cherche pas quelque chose de mieux ni de pire,
mais peut être de plus compréhensible.
Mais pourquoi, pourquoi tout cela ?