Lundi 30 juin 2008 22 19

Attends-toi à c'que je me traîne à tes pieds
Laura, j'ai constaté que même un silence de toi
Pouvait pousser mon rire à mourir

Attends-moi, toi tu es la reine des sommets,
L'orage sévit dans les plaines
Tu ne m'entends pas, je suis parasité malgré moi

Elle a su, simplement
Enfermer mon coeur dans son appartement

Avec ou sans toi, j'ai quelques problèmes
Tu t'en fous, Laura, j'suis désolé quand même
Si tu vas par là, ça me convient aussi dépose-moi

Encore une fois, c'est d'en bas que j'appelle
Elle se penche parfois de son nid d'hirondelle
Daigne me recevoir, ne me laisse pas de place pour m'asseoir

Elle a su, simplement,
Changer les clefs de son coeur et de l'appartement

Attends toi à c'que je me traîne à tes pieds
Laura, en attendant je sais que le jour viendra,
où je pourrai en mourir de rire.


Lundi 23 juin 2008 23 11



 [  merci  ]

Lundi 16 juin 2008 19 10

    Injustice, Injustice !
Ô que les bons dieu on créé notre liberté !
   
    Mais que l'homme nous à soumis à l'esclavage. L'opprimé, supprimé, violé, enlevé, éventré, étripé. Mange ! Tu es affamé des labeurs des autres ! Mens et vole les souvenirs. Mais que la beauté est éphémère, par ce qu'il n'y à pas de bien sans mal. Nous n'observerons jamais l'égalité. Noirceur en profondeur, Brûle ces femmes au nez crochu,  Lapides ces aux chapeau pointus !  Tel le monstre que nous somme, voyons un peu trop d'illusion. << Ne cherchez pas la perfections, elle n'existe pas. >> Et n nos cœur se rétracte ? " bam , bam ! ". Meurs dans cette sociétés corrompue, et salis toi de cupidité.



Mardi 10 juin 2008 20 06

Aujourd'hui... J'ai mal. J'ai envie de pleurer tu sais. Mais ça sors pas. J'ai envie d'en parler tu sais, mais sa sors pas.

Pourquoi j'ai mal ? J'l'aime bien mon père...

J'espère que tu restera longtemps, en Amérique p'pa.

Je t'aime bien... mais j'ai de moins en moins envie de te revoir.

et puis, tu n'es qu'un con...

[ Et je dis adieu au gens que je ne reverrais plus jamais. à partir de : Aujourd'hui ? ]

Bref, adieu.

Vendredi 6 juin 2008 19 56

Tout le mal pèse et moi, je n'en peux plus,
Cliché du " toi tes perverse, par ce que t'es lesbienne "
Derrières tout ses visage, je me retrouve plus, le faux sourire,
et de vrai pleures. Mais je me cache, je me cache, sous mes délires.

Je ne supporte plus tout ces visages moqueurs, et des " je te râle, mais je te dirais pas pourquoi, mais je te jette des regard noir, je parle de toi, hein ".et puis, il y en a qui régresse tellement que je suis exaspérée..." je suis gothique alors j'me mutile, avec mes griffes sinon ça fais trop mal. j'ai pris mes poignet en photo, mais il y a que les gens qui se mutiles qui peuvent les voirs !! ". Qu'elle est ton problème ? ton mec était tellement fatigué que j'ai essayé de l'aider. C'est un crime ?

et puis, j'en ai marre tout cours... Par ce que je cache mes problème à mes pottes, je n'en ai sois disant plus, par ce qu'ils s'acharnent sur moi, par ce que y en a, que je n'ai jamais aimé...
par ce qu'ils font mal, très mal.

Par ce que j'ai besoin de vacances, de ne plus jamais les revoir.
Un nouveaux dépars, je vais encore une fois partir, m'enfuir, mes pottes, mes amis, mes ennemis, au revoir, comme d'habitude, je ne serais pas là, je ne donnerais plus de nouvelles...

Comme d'habitude, je me lasse, je me taille, et je ne montre plus de signe d'existence...
Pourquoi presque personne ne pense au gueule des autres ? Moi, et les autres, on s'en fous.
Pourquoi les autres s'en foutent des hommes, femmes, enfant qui n'ont pas d'éducations ? Ses gens dans mon école n'ont pas le dernier appareil à la mode, alors râle. Toi, la pauvre artiste ! la pauvre ouvrière, tu es comme ça et tu es synonyme de peste ! On ne pense même pas au autres, et l'anmestie laisse pourir les gay en prison, et qu'une histoire de dollars tue. Je suis peux être pessimiste, mais l'homme est pourris du plus profond de son âme, j'ai aussi besoin de parler, de m'envoler. Et moi, j'ai aussi mal au coeur...

L'homme crée des monstres, l'homme se moque du malheur et du comportement des autres. On crée de nouvelles maladies. Et pour eux, c'est anormal que j'aime une fille. Moi je dis, c'est anormal d'aimer tout cours... Nous somme des bêtes sauvages avec des portables et des vêtements, on se soules, on se tue et on veut tuer. On viole, on jouit. Il y a une perversité dans ce monde mais plus de fraternité, et plus d'honneur. Alors moi je veux partir, partir vite, par ce que je n'en peux plus... Et j'en ai marre de traîner avec ce genre de personne... et j'en ai marre de m'ouvrir tout cours...

Je peux aussi avoir mal vous savez, ça m'arrive...


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