Tableau - van gogh
( écris le )
6 février 2010
[ Fin Décembre, Murphy est partit un peu déçus, un peu perdu. Au bouts d'une heure de réfléchir, lui vint un sourire nais au lèvre. Il commence à se sentir loin de tout, mais lui vient trop de chose en même temps dans la tête. Réfléchir, il ne fait plus que ça. Il prépare des projets, vois des potes pour le nouvelles an qui à lieu Le lendemain. Il faut prévenir que les jours avant lui sont trop vague. Il ne se rappelle pour l'instant plus que les forts moment qui se sont passé c'est derniers mois, en tout cas lui vient c'est grande et forte impression. Il essaye de voir ces amis, les plus proches, les plus à l'aise... Ceux qu'il avait de toute façon prévus de voir en faite... à la fin de ces long jours de vacances,ans un temps glacial. Les discutions sont fade, mais tellement racrochante, s'en est déstabilisant, un peu effrayant, un peu réchauffant. Mais étrangement il coupe cours, s'enferme dans sa chambre et son monde. Il à froid, partout. dans la chair, puis dans les os, et surtout dans son coeur. Ca fait mal par se que son sang bouillionnne dans chaque parcelle de son corp. Comme je l'ai dis, il commence à dessinner, composer. Mais surtout à écrire. Dans ses long jours défilant comme une tempête. il ne fait plus que ça. Il n'à même plus vraiment faim. Mais il avalerait le monde. Il pleure en regardant le ciel, en s'écorchant ses idée. Tout devient attraillant, attirant par ce qu'au fond, il sait que rien ne le sortera de son vide permanent. tatoué à la chair de son âme. à se demander si c'est son tout lui même qui est d'une extreme fadeur, ou le monde entier. Un peu des deux. Ils s'en fous un peu. Ses tortueuse réflection au font de ses abîmes l'obsede. Maintenant, il n'y a plus que ça, il n'y restera que ceci. Tout ce qui le consolait, le rassurait maintenant l'entraille le coeur. peut importe la forme... ainsi soit ils. Il sait qu'il y a encore un moment, il ne sait plus trop quand, il n'était pas comme ça. Les choses qu'il trouve tellement belle ne lui était pas si lointaine. Comment expliquer, c'est une peu difficile à dire. à sortir. Ses choses tellement belle le sont toujours, le font toujours sourire. Mais étrangement il y a un déclique, il se sent maintenant incapable de les attrapper. les insomnies s'accentue cruéelement. à vrai dire, il ne dort plus. Le voilà vers la fin de ses textes, écrires une quinzaine de page en quelques jours, ce n'est pas si facile. Jouer le jeu, jouer le regard. Mentir même, à tout le monde. Faire semblant d'être à nos habitude. " Lumineux et matinal pour leurs course quotidienne, allant nul pars, allant nul pars. " L'aube, et reveillé depuis plusieur décénie. C'est le bon jours, le mauvais endroit, et le bon moment pour remettre les semblant de texte. La fin du voyage pour déstination se termine avec la fin les pages, qui ne sont que de simple lettre. Crade de partout, s'écroulant de faim et fatigue, avec un sac qui à le poids de tout les coeur brisé, les hurlement du " C'est terminé ". Un des poids les plus lourds du monde. çà fait du mal à porter, le déchire un peu partout. il n'a pas l'air de s'être acharné à se laver. Mais c'est pourtant vrai, devant ses cheveux en pétard. les cèrnes qui s'étalait comme de véroce lièrre depuis plusieur mois. Il ne ressemble à rien qu'à une fleur fanée. c'est un peu attristant. Il se sait obesrvé d'une curiositée lugubre d'un de ses colègue dans le train lorsque qu'enfin, il écrit les derniers mots. il sort du train. Ne se souvient même plus de son voyaage dans le tram. Ni de comment il à déboulé devant l'école. Déboule devant une camarade, lui adresse un regard presque dédaigneux mais encore polis, on pourrai croire chalereux. Demande une cigarette, ce mets devant la porte. l'allume et aspire profondément la fumée. Des trous noirs, il ne se rapelle toujours pas. Murphy ne tien pas en place. regarde partout, s'agite, grimace un sourire. Dit poliment bonjour. [...] ]
23 h 51
( écrit le )
1 juin 2010 Fin 23 : 45 environ
00:49
20 juin 2010 21 h 41
Et murphy c'est moi. Et sans blague je me suis ratée.
Mais 6 mois d'hôsto, On le sent bien passer... (hospitalisation différente)
Pourquoi je le raconte dans un blog ouvert à tous ?
Par ce que c'est la première fois que j'en parle vraiment, merde.