Dimanche 20 juin 2010 22 09

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Tableau - van gogh


( écris le )

6 février
2010

[ Fin Décembre, Murphy est partit un peu déçus, un peu perdu. Au bouts d'une heure de réfléchir, lui vint un sourire nais au lèvre. Il commence à se sentir loin de tout, mais lui vient trop de chose en même temps dans la tête. Réfléchir, il ne fait plus que ça. Il prépare des projets, vois des potes pour le nouvelles an qui à lieu Le lendemain.  Il faut prévenir que les jours avant lui sont trop vague. Il ne se rappelle pour l'instant plus que les forts moment qui se sont passé c'est derniers mois, en tout cas lui vient c'est grande et forte impression. Il essaye de voir ces amis, les plus proches, les plus à l'aise... Ceux qu'il avait de toute façon prévus de voir en faite... à la fin de ces long jours de vacances,ans un temps glacial. Les discutions sont fade, mais tellement racrochante, s'en est déstabilisant, un peu effrayant, un peu réchauffant. Mais étrangement il coupe cours, s'enferme dans sa chambre et son monde. Il à froid, partout. dans la chair, puis dans les os, et surtout dans son coeur. Ca fait mal par se que son sang bouillionnne dans chaque parcelle de son corp. Comme je l'ai dis, il commence à dessinner, composer. Mais surtout à écrire. Dans ses long jours défilant comme une tempête. il ne fait plus que ça. Il n'à même plus vraiment faim. Mais il avalerait le monde. Il pleure en regardant le ciel, en s'écorchant ses idée. Tout devient attraillant, attirant par ce qu'au fond, il sait que rien ne le sortera de son vide permanent. tatoué à la chair de son âme. à se demander si c'est son tout lui même qui est d'une extreme fadeur, ou le monde entier. Un peu des deux. Ils s'en fous un peu. Ses tortueuse réflection au font de ses abîmes l'obsede. Maintenant, il n'y a plus que ça, il n'y restera que ceci. Tout ce qui le consolait, le rassurait maintenant l'entraille le coeur. peut importe la forme... ainsi soit ils. Il sait qu'il y a encore un moment, il ne sait plus trop quand, il n'était pas comme ça. Les choses qu'il trouve tellement belle ne lui était pas si lointaine. Comment expliquer, c'est une peu difficile à dire. à sortir. Ses choses tellement belle le sont toujours, le font toujours sourire. Mais étrangement il y a un déclique, il se sent maintenant incapable de les attrapper. les insomnies s'accentue cruéelement. à vrai dire, il ne dort plus. Le voilà vers la fin de ses textes, écrires une quinzaine de page en quelques jours, ce n'est pas si facile. Jouer le jeu, jouer le regard. Mentir même, à tout le monde. Faire semblant d'être à nos habitude. " Lumineux et matinal pour leurs course quotidienne, allant nul pars, allant nul  pars. " L'aube, et reveillé depuis plusieur décénie. C'est le bon jours, le mauvais endroit, et le bon moment pour remettre les semblant de texte. La fin du voyage pour déstination se termine avec la fin les pages, qui ne sont que de simple lettre.  Crade de partout, s'écroulant de faim et fatigue, avec un sac qui à le poids de tout les coeur brisé, les hurlement du " C'est terminé ". Un des poids les plus lourds du monde. çà fait du mal à porter, le déchire un peu partout.  il n'a pas l'air de s'être acharné à se laver. Mais c'est pourtant vrai, devant ses cheveux en pétard. les cèrnes qui s'étalait comme de véroce lièrre depuis plusieur mois. Il ne ressemble à rien qu'à une fleur fanée. c'est un peu attristant. Il se sait obesrvé d'une curiositée lugubre d'un de ses colègue dans le train lorsque qu'enfin, il écrit les derniers mots. il sort du train. Ne se souvient même plus de son voyaage dans le tram. Ni de comment il à déboulé devant l'école. Déboule devant une camarade, lui adresse un regard presque dédaigneux mais encore polis, on pourrai croire chalereux. Demande une cigarette, ce mets devant la porte. l'allume et aspire profondément la fumée. Des trous noirs, il ne se rapelle toujours pas. Murphy ne tien pas en place. regarde partout, s'agite, grimace un sourire. Dit poliment bonjour. [...] ]
23 h 51

( écrit le )
1 juin 2010 Fin 23 : 45 environ

 
[ [Suite] Dit poliment bonjour...  voit une amie, se trahit, mais pas assez pour qu'elle comprennent sur le moment. Sème le doute en quelques sorte. Totalement dans un comportement anormal, dans une posture, étrange, différent. Ou alors, trop loin pour quoi que ce sois. Ces impressions là ne se voyent pas mais se ressentent... Attend la personne qui lui fait confiance, ou qui lui aurait tout donné...  au creux de al porte de l'école. Elle a un peu peur, de ne pas la voir avant la sortie. Encore une fois, le temps c'est arrêté. Enfin arrive-t-elle, accompagnée d'une autre gente demoiselle,  lui disent un bref bonjour, et  s'en vont. Murphy n'a que trop attendu se moment, même si ce n'était pas spécialement de joie. Mais en gardant le secret,  l'éxitation de ses actes, pensée et attendes rends ses paroles toute joyeuse. ( Qui voyait l'éspoir au fond de la voix ? Et puis l'éspoir de quoi ? )  tout débraillé, le regard ressemblant à un animal, sombrant dans la folie. Devant un regard surpris par le geste, alléché par le carnet remplis, que la belle demoiselle trouve au premier regard tellement beau.  Il lui donne la sers un peu trop fort, lui murmure un " je t'aime" Que tout les amoureux trouvent tellement unique, que tout les autres pitoyablement banal. maintenant tout vas très vite, trop vite. Il sert dans les bras toute les personnes de confiance qu'ils croise. Encore un trous noir, il se retrouve dans un couloir à marcher d'un pas rapide. Il voit la tête de sa tendre. Essaye de lui esquisser un sourire, il devait être trop stressé-angoissé-désorienté-paumé-loin-dans-ses-idées par ce que sitôt le cerveau avait il demandé au lèvre qu'elle s'écroulèrent, l'obligeant à garder une grimace particulièrement étrange. par ce qu'à vrai dire, tout son corps n'obeissait plus vraiment à son cerveaux, mais aux désir de ses idées. Un regard perplexe, lui jette-elle comme réponse. Un autre  passage trop flou pour lui semble-t-il. trop tard pour raconter le reste ]
00:49

20 juin 2010  21 h 41
Et puis bordel Murphy se tire une balle dans l'école.
Et murphy c'est moi. Et sans blague je me  suis ratée.
Mais 6 mois d'hôsto, On le sent bien passer... (hospitalisation différente)
Pourquoi je le raconte dans un blog ouvert à tous ?
Par ce que c'est la première fois que j'en parle vraiment, merde.





Dimanche 20 juin 2010 21 30

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J’ai fait le rêve d’être un enfant qui joue sa vie de son plein gré
Et tout est guerre et tout est trêve et on lui dit que c’est ça la vie
Le sac au dos tout plein de bouquins voilà revenir le moins que rien
Il se demande qui sont ces hommes, quelles sont leur place dans son destin
Il étudie à contre-cœur mais c’est une flamme qu’il a dans l’âme
Les années passent l’enfance s’écarte à la recherche d’une vie parfaite
Les années passent l’enfance s’éloigne et pour tout le monde il devient fou

Refrain :
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où je m’envolerai au bout du monde
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où je m’envolerai au bout du monde
J’ai fait le rêve de tous ces gosses (bis)

Le petit bonhomme reprend sa route, de l’inconscience comme disent les autres
Il mène sa barque à sa mesure, à quoi ça sert une vie sans rêve ?
A quoi ça sert une vie sans risque, il troque sa vie contre un stylo
L’amour d’écrire a fait de lui un incompris de ses amis
Il reste ferme et convaincu, pour la plupart il est perdu
Il reste ferme et convaincu, pour la plupart il est vaincu

(Refrain)

Il vit le rêve qu’il a choisi, de plus la chance lui donne raison
Il a trimé à chaque saison pour pouvoir faire sa petite maison
Si j’étais fou j’aurais pu dire que la vie c’est le rêve que l’on affronte
Si j’étais fou je te dirais même qu’il n’y a pas de montagne que l’on ne surmonte
Si j’étais fou tu penses franchement que je pourrais croire tout ce qu’on me raconte
Si j’étais fou je serais qu’une horloge que l’on décompte au fil des soirs
Il est peut-être fou il est peut-être con à 25 ans il rêve encore

Il rêve encore !
Il rêve encore !

(Refrain)
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où je m’envolerai au bout du monde
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où je m’envolerai au bout du monde

J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où je m’envolerai au bout du monde
J’ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J’ai fait le rêve, je ferai mon rêve, je vis le rêve
J’ai fait le rêve, je ferai mon rêve au bout du monde
je fais le rêve, je vis le rêve, je ferai mon rêve au bout du monde
je fais le rêve, je vis le rêve, je ferai mon rêve au bout du monde

- google me l'a fournis -
 

Lundi 14 juin 2010 22 22


http://mad.dream.cowblog.fr/images/1/4340998.jpg

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c'est pas moi que tu regarde dormir,
avec qui tu veux t'réveiller.
je n'suis pas ton paris sur l'avenir,
Juste un moment abandonné .
Dans le courant d'un vague à l'âme, (?)
Un moment de doute sublimé.
sursaut de ton côté sauvage,
et de ta folie oubliée.
Tu m'dis :  T'es pas fiable,
Chez toi y a rien à pour s'arnacher. 
Tu me dis que t'es raisons d'hier,
aujourd'hui tu les a oubliées.
Dans un regains de sagesse,
Tu m'dis de m'en aller.
Tu m'dis qu'une fois revenus l'ivresse,
tu pensera à me rappeler.
Je la regarde se languir,
ta beauté fauve et éphémère.
Il en faut pour la subir,
Et d'autre pour la satisfaire.
Pour tout à prendre,
Rien à donner.
Tu dicte le tempos et les clés.
Tu distilles t'es moments d'errance.
et surtout quand te retirer.
Tu sais surtout choisir les cartes,
Changer les donnes et t'adapter.
Au cours de tes humeurs changeantes,
ta précieuse volonté.
pourquoi donner et souffrir ?
que l'on puisse te refuser.
Quand il suffit de sourire,
et d'un peu ronronner...
Tu dis où, et tu dis quand,
Tu dis dégage, et puis reviens.
Tu dis j'ai peur, tu dis j'ai mal,
alors que tu ne ressens rien.
Je la regarde se languir,
sa beauté fauve et éphémère.
Il en faut pour la subir,
et d'autre pour la satisfaire.

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Mademoiselle coco - Balimurphy
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