Vendredi 19 novembre 2010 21 46



En fouillant un peux dans mon passé.
J'ai dénichée cette vidéo.

Lundi 15 novembre 2010 18 46
































*La mélancolie des années 80, (même si je ne l'ai pas vécue),
Elle me touche et me fait l'effet d'un escalier formée de glace, allant jusqu'au ciel.
Dans le temps où l'on se posait pour regarder les murs. une ère de révolution,
Où les expériences semblait commune. Les paradis Artificiels ne cessait de choir.
Remonter devant nous pour disparaître.

Je ne me sens pas  vivre à la bonne époque.
J'ai le sentiment que ce n'est juste qu'une illusion.
Mais à l'instant, je crois que l'on cherche plutôt à fuir toute connaissances,
ou plutôt tout les revomir, dans notre overdose quotidienne.
Je préfère cette sensation de me réveiller le matin.
Et de savoir que j'ouvre les yeux, peut importe l'état où le lieux où je me trouve.

Le monde avance.
Et moi je recule.




Jeudi 11 novembre 2010 0 28

Le ciel est d'un noir total, J'hésite à fumer, ayant encore le goût de la cigarette en bouche.Je contemple mon reste de bière. J'ai un peu froid, j'ai un peu chaud. Dans ces heures de songes, je me refuse à l'idée d'être bientôt le matin. Les sentiments sont perplexes, confus, incontrôlables.  Je trouve tantôt cela dommage de ne pouvoir les différencier comme l'ombre et la lumière, Comme la vapeur et la glace. Mais que puis-je ? Les sentiments reste fascinant, magique et insoutenable. Comme une chimère, une utopie. Je suis outragée, peinée, amusée, frustrée de ne pouvoir me mettre dans la vie réelle. Incapable de dire clairement les choses simples, Physiquement mal, physiquement froid. Je comprends le désagréable, je comprends le bien être. Je le diférenciait le notait le dénombrait, le calculait mieux que quiconque . Totalement capable de décrire et de sentir la sensation des autres. Je suis incapable de comprendre les sentir totalement. Je m'exprime un peu mal. Ma mémoire aussi me fait défaut, Ne sachant jamais ce que je vais retenir réellement, ne pouvant comment je puisse retenir, ce n'est ni les sensation forte ou les moment fort, ni ceux qui m'ennuie, ni ceux qui m'amuse. Tout me revient sans cesse, on pourrait penser que j'ai une bonne mémoire, mais tout redisparait. Comment constamment perdre le fils de ses idées, de ses paroles ne plus rien savoir sur le coup ? Et tout reconnaître, se souvenirs de tout les liens établis, immenses. Comment se sentir bien ? Comment se sentir mal ? Comment re resentir ? Comment reprendre sérieusement les dessins, les sentir couler entre mes doigts ? Les liquéfier, les durcirs, les rammolires. Les détruire , les transformer, les imaginer, pour qu'ils refasse parties de moi même... Pouvoir s'imaginer changer le monde entre ses doigts. Changer cette peine... Et la joie. Changer la vie, et le désespoirs. Disparaître l'atome, le recréer. La nuit est plus calme, le ciel est toujours aussi noir. Ce discours ne changera rien, et ne sers à rien. J'ai un peu chaud, un peu moins froids.Je n'ai toujours pas fumée -Ou n'en ait pas le souvenir-. la bouteille de bière c'est un peu plus vidée.
Des songes se noyant de le liquide.
S'évaporant dans la fumée ?

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