Jeudi 17 mai 2012 18 52

Une voie douce et autoritaire, jaït de la porte :
 
-- Entrez, Oscar ! La porte automatique s'ouvrit, qui laissa place à un bureau, en arrière plan, et deux fauteuils en cuir rouge, de part et d'autre de la table. Elgar découvra un hom
me assit en train de relire ses notes, entre deux coussins. Il était plutôt de petite taille avec un bon ventre, des lunettes rondes avec mal grès tout, des cheveux soyeux, qui masquait son léger début de calvitie. Son costume était d'un noir troublant avec un brin de gris, mais ceci dit, il était impeccable

Tu peux nous laisser, Oscar. Le tas de circuit s'en fut. L'homme hocha la tête, d'un air rêveur quelques minutes, pour brusquement, reposa son regard sur son client. Elgar se figea sur le fauteuil.
-- Je me présente Maximilien, Maximilien Colt, roucoula-t-il en figeant son sourire.
Elgar se leva gauchement, exerça une maîtrise éprouvante pour ne pas paraître courbé et s'identifia. Le petit homme reprit son sérieux et dit d'une voie chaleureuse
-- Assied toi, je te prie.
Elgar se détendit, un petit peu.
-- Tu commence à déjà faire parler de toi. 
Il eut un petit rire.
-- Je vous demande pardon, Monsieur.
-- Je t'en prie ! Ne me réponds pas, quand tu n'en pense rien. Elgar nota que sur ces mots, on remarquait plus visiblement ses veines. L'homme se ressaisit, expira un long souffle, et reprit son petit air niait dont Elgar ne savait pas très bien, si oui ou non, il trouvait cela répugnant ou plutôt rassurant. 
-- Pense tu avoir de l'importance, cher enfant ? 
Notre héro marqua un temps.
-- Non... Monsieur.
L'éducateur sourit de plus belle et ses yeux, d'un gris jaune, donnait l'impression d'écouter les pensées, les sentiments. Ils étaient graves, froids et fascinants. 
-- Je préfère cette franchisse, mon jeune homme. Il marquât encore une fois une pause. Aimerai-tu que l'on t'en donne ? 
-- Je ne sais pas.
-- Vois tu ! Elgar... Elgar.... Il donnait l'impression de déguster les syllabes, ce qui donna un frisson désagréable. Ton rapport nous intéresse beaucoup. Tu es particulier, Et dangereux. Ton intelligence te rends sensible, et ta sensibilité te rends intelligent. Et des personnes comme toi, se font si rare. Il fit maintenant la moue. Elgar se demanda si dans une autre vie, ce n'était pas un comédien, Cette vielle coutume, que le peuple faisait pour se distraire, il était presque sur que ça se nommait le théâtre. Cette chose, qui permettait de mimer la vie humaine. Il regarda son interlocuteur de façon polie.
-- Es-tu toujours aussi froid, lorsqu’on te parle ?
-- Pardon ?
-- On ne lit aucune tension sur ton visage, et le stresse que tu montre me semble extérieur à tout cette aventure que tu es en train de vivre. Ceci est déjà très rare dans ce genre d'endroit, où nous avons une grande manipulation sur la vie de nos clients. Mais en plus de cela, tu cache de façon intéressante, les désintérêts que tu porte aux personnes qui t'entourent, même si la personne dite parle de toi. Il se tut, prit un air grave. Ce qui interloqua notre jeune ami. Il se mit debout, et s'éclaffa.
-- Mon jeune ami ! Quel joie de te connaître ! Peut importe si dans ce monde, l'homme n'a aucune importance. Nous, nous allons t'en donner une. Je vais enfin te donner le métier qui te convient. Il se mouilla les lèvres et replaca ses lunettes avec ses doigts boudinés. Tu sera juge dans la section CAM. 
Le nouveau citoyen se raidit, sursauta et ne pus cacher son visage remplit de terreur. 
-- Monsieur, suis-je vraiment fait, pour juger, qui est condamné à mort ?
-- Douterai tu du gouvernement ? 
Il se tut, et les deux hommes renfermèrent leurs visage.
-- Nous savons tout de toi, et mal grès ton intelligence si importante pour nous, tu reste encore bien naïf. 
Vous ne savez pas à quoi je pense ! Rugit Elgar.
-- Et comment le serais tu ? Ne prends pas cet air interdit, je ne le sais pas moi même. La tension se calma. Nous savons que tu traines dans les propriétés privée du gouvernement comme la décharge, et que tu pratique des expériences mécaniques sur les cadavres robotiques. Nous savons aussi par ailleurs que tu ne peux pas te passer longtemps de nicotines et que les réelles cigarettes te calmes. Que les glaces à la vanilles est la choses dont tu préfère. Et nous savons aussi, que tu fera un parfait contrôleur, dans le cas où tu refuserait, par ce que à ce niveau juridique pour un poste aussi important, tu en as le droit. Nous serions dans l'obligation de regarder toute tes infractions, et de te juger en conséquence. Je ne parle même pas du délit de cacher de la drogue sous ton plancher. Il donnait l'impression de réciter le texte, paradoxalement, c'en était troublant.



-- Voulez vous dire, que si pendant toute mes années, vous m'avez laissez faire, c'est uniquement, par ce que vous avez besoin de moi ? 
Le vieux cadre ouvra la bouche, puis la ferma. 
-- J'imagine que tu t'attendais à ce que je te dise cela. 
-- D'une façon ou d'une autre, oui. 
-Elgar se referma encore une fois sur lui même après ses mots. Les deux acteurs reprirent leurs masques respectif. 
-- Allons droit au but, Les formalités te permettes de demander une faveur, en échange des grand et loyaux service que tu donnera à notre gouverneur. Que veux-tu ? 
-- Monsieur ?
-- Oui ? 
-- Pourquoi avez vous appelé le controlsecuryti's Oscar ? 
-- Mais voyons, pour oscar Wilde.
Qui est Oscar Wilde ?
Le regard du petit homme devenu mélancolique, donnait de la pitié, beaucoup de pitié, même à Elgar, qui en avait horreur. Ses yeux se posa dans le vide, et les verres de ses lunettes s'embrumais. 
-- C'est bien cela le problème, mon tendre amis. Finit-il par gémir. Plus personne ne le reconnait, ne l'entend, ou ne le reconnaitrait, un peu, comme tout ces robots, que je ne peux différencier sans leurs numéro. Si vous saviez mon jeune ami, comme cela me fends le cœur. Pour Wilde, et pour mes Oscars. 
-- Monsieur ? Je voudrai avoir Oscar.

 

Vendredi 20 avril 2012 17 38

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Maintenant et aujourd'hui, je remarque que je me sens séduite
par toute personne qui te ressemble.

Lundi 9 avril 2012 11 10

 
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Mais mon coeur est un dictateur. 
jamais jamais, je ne pourrais me reposer de le porter.

Et si par malheur j'ose le renier... 
Je serai le meurtrier et le bourreau
qui l'aura sauvagement assassiné. 
Je serai la victime de cette atrocité.

Mercredi 28 mars 2012 20 25

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Le poste d'éducation se trouvait dans un édifice gigantesque, impressionnant, oppressant. De longue colonnes maintenaient la structure orthogonale. Elle regroupait un tribunal, un poste de police, un poste d'éducation et d'autre postes qu'Elgar n'avait pas le droit de connaître. Il arriva un peu avant que le jour se lève. On était dans un été chaud, sec, sans pluie. Il s'assit à proximité de la porte, mit sa tête entre ses genoux, et pensa, à la campagne, à son frère, aux arbres, aux insectes. Il se rappela des couleurs du ciel, à la tombée de la nuit dont il avait eux la chance de voir dans son enfance, avant d'être emmené de force dans la ville, avec un petit groupe de gamins terrifiés, tout comme lui. C'était censé le rassurer, ce n'était pas le cas. Il voulut pleurer, un petit peu, mais ne savait plus comment faire, il avait le tournis, il avait faim et finit par s'évanouir. Il se réveilla en sursaut, se retenu de crier, reprit lamentablement ses esprits, et regarda sa montre 5 h 55. Se leva brusquement, tomba, se releva en se tenant contre le mur, et tout ça devant la caméra ! Se força à rester debout, il ne voulait pas avoir d'intercation avec un gardien, pas maintenant. Voilà un jeune homme qui avance en titubant comme un poivrot sous une insolation. À l’exception qu'il n'était pas saoul. Devant la secrétaire, aux cernes couleur cendre et teint blafard, le chignon trop serré, et les lunettes carrée trop grande. Son air était un mélange entre une baba cool et une maîtresse tyrannique. Elgar essaya de froncer les sourcils et bégaya son nom. Un détail le déconcertait, elle ne portait pas d'uniforme. La femme ne pipa mot, et lui indiqua de son index une porte blanche avec une écriture noire, froide '' INFIRMERIE ''. Il s'en fit, la tête entre les épaules, le dos courbé d'un pas nonchalant. Le médecin le regarda d'un air indifférent, lus son dossier et l'examina. Lui donna un pain au lait sans goût, trop sec, et un verre d'eau. Le pria sèchement de partir avec une attestation de la visite et l'heure de son rendez vous, c'était dans heures plus tard. La tension sur ses épaules commençaient à se relâcher. Descendit à la cantine, elle était blanche, beaucoup trop propre pour sa sensibilité, fit un bref coup d’œil, deux controlsecuryti's rechargeaient leurs batteries, au fond de la salle. La caissière était un cyborg. Étrangement, il préférait les controlsecuryti's au cyborgs, eux, avaient une personnalité développée. Les cyborgs ne servaient jamais de compagnons ou de garde du corps. Il se commanda un café et trois croissants, vérifia qu'il n'y avait personne dans la salle de cette cantines. Il ferma les portes et éteignit la lumière. Tapota derrière la tête de la vendeuse non humaine, et la débrancha. Il n'était pas censé savoir le faire, il l'avait deviné tout seul, à force d'examiner les pièces abimée à la décharge. Il y était fasciné par tout ses objets, dont certains avait une personnalité comme les robots humains, et puis d'autre qui n'avaient jamais eut vraiment d'utilité, ou servit. A chaque fin de sa visite à la décharge, clandestinement, ça lui donnait des sueurs froides, de savoir qu'un jour il finirait comme ces robots. Il se cala derrière le comptoir, par terre, et joua aux échec en notant les coups sur un bouts de papier. Il fut brutalement interrompu par un controlsecuryti's qui venait de se réveiller. Il se tenait à côté de lui, et avait menotté sa main à la sienne.


Ca ne lui faisait pas peur, la société terrifiait déjà le peuple à longueur de journée. Alors dans les moments comme celui-ci, où l'on se rendait compte, sous le choc, que l'on à jamais rien eux à perdre. Ne s'en déconcerta pas. Aucun des deux n'avait parlé une seule fois, Elgar ayant donné son micro-code volontairement. Cela le troubla de ne pas suivre le couloir de la section police, à sa gauche. Il monta les grand escalier, disproportionné par sa grandeur, et d'une élégance beaucoup trop hautaine, fait de forme géométrique calculée, et recalculée par la perspective. Le robot s'entend son intention se lâcher par les rythmes de son cœur, ne pressa pas le pas, mais au contraire ralentit. Dans ses minuscules circuit au données faramineuse, il y avait celle, dont il était impossible de lui d'y contester la moindre seconde que plus les détenus étaient détendu, moins ils risquaient de vouloir s'enfuir. Mais sa pensée fabriquée pour être respectée, lui dit d'une voix ferme mais sans animosité, de bien continuer à le suivre. Le jeune rêveur fut surpris, la grande diversité des intonation linguistique était particulièrement nouveau. Ca le fit examiner pendant le reste du trajet, la forme du controlsecuryti's. Il était fort détaillé, d'une grande richesse, avec un disegne réfléchit. Ils avaient tous cette posture, d'homme musclé, se tenant droit. Volontairement fait d'une forme qu'aucun humain pourrait avoir, si on s'y attardait à l'observer plus attentivement. Les bras était trop long, il n'avait presque pas de hanche, et de longues jambes. Il devait bien faire deux mettre. Mais gardait les proportions accessibles au humains. D'où leurs longs membres. Tous aussi svelte les uns des autres avec des uniformes pour leurs travaux du moment ainsi fait pour cacher les faiblesses du métal et du plastique. Leurs mains était quasiment toute les mêmes. Même si leurs proportions changeaient parfois par apport à leurs tailles. Leurs visages était plus flous, avec un numéro sur la tampe. Mais chaque controlsecuryti's avait leurs propre visage, de façon subtile. C'était rare que l'on pouvait réellement s'attarder sur un controlsecuryti's. Et ça plus à Elgar. Il avait longtemps suivit l’évolution morphologiques de ses machines. Et dans l’espace immense de détritus avait rassemblé un corps entier fait de pièces trouvées par ci par là. Il n'y ressemblait que vaguement mais Elgar pouvait prendre le temps de l'examiner sur toute ses formes. Lui, il avait trouvée la section de détritus robotique, c'était fabriqué une entrée, et un coin aménagé rien que pour lui. Comme il fallait passer par la cours arrière d'une maison abandonnée, personne ne l'importunait. Le jeune rêveur fut coupé totalement dans ses rêveries quand le tas de fer et de pétrole à quasi libre pensée toqua à la porte. Troublé, son cœur commençait à palpiter.

 

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Nan mais je m'en fous que ce soit nul ou brouillon, si je l'écris là c'est surtout pour moi.

Mardi 27 mars 2012 18 15


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Elgar ne pouvait plus attendre. Les réponses, c'est ce qu'il cherchait avec impatiente. Ça faisait déjà depuis cinq heures qu'il passait à flancher dans la gare.... Une furieuse envie de rentrer chez lui picotait la langue, et il faut l'avouer, le bout des doigts. Mal grès sa sensation frustrante, son corps refusait de bouger, à chaque venue du train. Il regarda pour la troisième fois en une minute la date sur son nouveau portable, planté chirurgicalement le jour même sur son poignet. Le jeune homme n'en voulait pas mais la nouvelle lois lui laissait le choix entre le faire à l'hôpital ou de force par l'armée. La pensée de devoir passer à la caserne lui donnait envie de vomir. La décision fut vite réglée. Demain, il aura seize ans, et recevra son premier e-mail officiel pour lui attribuer son nouveau métier. À bouts de nerfs, prit une pilule de nicotine. Il fumait depuis son enfance, comme tout les autres, pour faire comme tout les autres. C'était ce qu'il y avait de mieux à faire. Tout le monde le sait. Encore une fois, pensa aux articles de lois, considéré depuis peu le tabagisme comme une drogue dure et une atteinte à la santé des citoyens. Il ne lui restait plus que trois cigarettes, cachées sous le plancher de sa chambre de fonction. Impossible de s'en procurer sans une peine de prison maximale. Cette pensée l’énerva, il mêla ses cheveux de ses maigres phalanges. Et par un geste brusque reprit une pilule, sous le regard méfiant du gardien de nuit. La gare était déserte et seulement un seul quai. Il ne restait plus qu’eux deux, c'était bientôt le couvre feux. Si il ne voulait pas se faire arrêter, il devra prendre le prochain et dernier train de la soirée. Il regarda fixement le code de sa chemise '' 246-16A '' c'était son nom de famille.

 

Il arriva devant chez lui, l'alarme déjà déclenchée dans toute la ville, pour presser les retardataires probablement tous horrifié à l'idée de ne pas pouvoir y rentrer chez eux à temps. Cette pensée lui donna un sourire amer. Après tout, rester dehors au delà dans le noir totale était une faute grave, influençait le peuple à la délinquance. Seulement les forces de l'ordre et les controlsecuryti's y avaient le droit. Toute les règles de vie ne pouvait jamais sortir de sa tête, et sérieusement, lui donnait de très mauvaise migraine. Mais pourquoi toujours s'en rappeler, si personne ne les oubliera jamais ? Il avait faim, mais ne pouvait rien manger avant le petit matin. Manger la veille de sa majorité n'était pas conseillée. Il monta péniblement les escalier de l’immeuble '' 16-A 200-400 ''. Un immeuble, de 200 chambres de fonctions, toute les mêmes au couleurs à fondre sa pensée. Il était au quinzième étages. Arrivé à son couloir, les lumières s’alluma, l'écran lui indiqua son nom et l'heure de son arrivé. Lui rappela qu'il ne pouvait manger ce soir. Un muscle tressaillit au bord de ses lèvres. Il se commanda un paquet de pilule/nicotine au distributeur, à deux pas de sa porte pointa son micro-code barre tatoué sur son pouce sur l’œil de la machine. Et rentra chez lui par la même façon. Sa chambre était assez grande pour un lit, un évier et une armoire. Le sol fait de bois poussiéreux, criant à chaque pas la fin de leurs vie. Elgar avait tapissé l'entièreté de l'espace des murs, et du plafonds de miroir, et parfois, passait plusieurs heures à s'y regarder. Il était long, fin, cheveux bouclé, avec les yeux vert, Exactement le physique qu'il fallait pour se faire apprécier de personne. Se faire frapper ostracise depuis son plus jeune âge. Mais il n'en avait rien à faire. Il y avait aussi dans cette pièce une porte, qui renfermait une salle de douche et une toilette, mitoyenne à son voisin, les portes se fermait automatiquement lorsque qu'on y rentrait, ce qui fait qu'ils étaient incapable de se croiser. Tout contact tactile du même sexe sans surveillance par caméra était hautement interdite. Il regarda le loquet de la salle de douche, vert, parfait, il alla se laver. Deux douches par jour, de huit minutes. Voilà ce qu'il fallait faire.

Il se coucha sur son lit, ne prit pas la peine de s'habiller. Regarda le journal politique, les lois mise à jours. Ne pas regarder les nouvelles se résumait à brûler sa barque, au milieu de l'océan acide à quinze-milles kilomètres de toute terres. Son portable clignota et le fit un moment fermer les yeux. Un message donné sous l'adresse officielle de son agent d'éducation.

'' '' 246 16-A '' sous l'effet immédiat de votre majorité, votre rendez vous au poste de l'éducation pour vos indications à vos devoirs de citoyen se passera demain, à 6h00. Toute tentative de refus sera considéré comme un acte irréfutable de trahison, et mènera à une exécution immédiate sans appel. Ne mangez rien avant votre venue, un contrôle médicale vous attendra à votre arrivée.

 

 Au passage, joyeux anniversaire.
«  Le peuple est la lois. La lois est notre sécurité. »

 

 3566 20-AAZ "

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