Dimanche 25 décembre 2011 23 41

  Je ne sais pas comment l'écrire, et encore moins le dire. Je ne sais pas comment me sentir, comment expier mes pensées. Début décembre, j'apprend que tu es mort, toi l'artiste. Tu m'as fais de la peine, et tu ne le saura jamais. Tu m'as mise en colère, et je ne pourrais te le dire. Je me demande encore si c'était par désespoir ou mélancolie... Ou par lubie; que tu as eux cette idée, cette idée joyeuse de sauter d'un pont. J'en suis encore parfois sous le choc, que tu ais réussis à me donner une pars de ta vie, et de voler une partie de la mienne. Je ne dirai pas, je ne t'oublierai jamais, je ne dirais pas, tu restera toujours dans mon coeur.  Je ne sais pas, ce que tu pensais de moi. Cette réflexion, je l'ai déjà fais, je ne sais pas pourquoi je l'écris. J'en veux à la vie, de m'apprendre les choses de cette façon là. Je ne sais pas si je lui en veux encore. 

Mi décembre, Examen, Et hôpital. La même semaine, les mêmes journées. Cela me fait rire, me donne un sourire amer. De savoir que j'ai des maladies hypothétiques, mais qu'on ne cherche pas à savoir si je les aies vraiment. Que j'aurai de toute façon mal à vie. Que mon seul choix serait de prendre Trois antidouleurs par jour, les jours où cela devient insupportable ( Ce que je refuse de faire. ). L'ironie de moi même, l'ironie de la vie. C'est triste à dire, difficile à expliquer. A quels point la vie nous joue des tour, à quel point sa se joue de nous, de nous même, avec l'âme et la conscience d'un d'un enfant, qu'on ne peut jamais véritablement en vouloir. 

Fin décembre, Lavender... Il ne faut pas qu'elle devienne l'ombre d'elle même, qu'elle puisse tenir, le bonheur et la vie, dans ses mains, et le rendre. Sans (Auto)destruction, sans fascination de la chute aussi belle puisse-t-il être dans un gouffre d’abîme. Sans admiration des scènes macabre et noir, comme les cendres. Mais serais-ce vraiment elle ? Et tout ceci est il possible ? A quand le bonheur ? A quand remontre le bonheur de parler à une coccinelle ? De sentir l'herbe sous ses pieds, d'avoir encore assez de nez pour pouvoir apprécier l'odeur de l'été ? En bref, de s'extasier, de sincérité, de légèreté, et honnêteté. La race de L'Homme resterait  il pour protéger l'âme des enfants ? Mais que cela signifie ?

Que voulez vous dans le fond des tripes ?
Que ressentir devant sois même et de nos petit yeux, qui ne voient qu'une partie du tableau de la vie.
Mais pourquoi, mais pourquoi tout cela ?

Je ne cherche pas quelque chose de mieux ni de pire,
mais peut être de plus compréhensible. 

 

Mais pourquoi, pourquoi tout cela ? 


 

 

 

Par http://www.luigifagioli.it le Vendredi 23 janvier 2015 2 53
Maintenant que je n'ai plus une après midi à moi, entre les cours et le nouveau travail.
Je me dis que le travail est une autre façon que de faire l'amour ou de se droguer, pour user de son corps.
( non pas dans le sens péjoratif. )
Par http://www.converse-pourvous.fr le Jeudi 28 mai 2015 11 19
Maintenant que je n'ai plus une après midi à moi, entre les cours et le nouveau travail.
Je me dis que le travail est une autre façon que de faire l'amour ou de se droguer, pour user de son corps.
( non pas dans le sens péjoratif. )
Par http://www.stickermural.fr le Lundi 15 juin 2015 9 27
Ou alors est il au comble de son effroi.
Par http://www.livemylifelacoste.fr le Mardi 11 août 2015 2 37
rs est il au comble de son effroi.
Ce n'est pas moi mais le monde qui, autour de moi, coule,
Par http://www.otelloprofazio.it le Jeudi 20 août 2015 5 17
Ou alors est il au comble de son effroi.
Par http://www.nikepascherable.fr le Vendredi 25 septembre 2015 11 09
Maintenant que je n'ai plus une après midi à moi, entre les cours et le nouveau travail.
Je me dis que le travail est une autre façon que de faire l'amour ou de se droguer, pour user de son corps.
Par http://www.maths-argentan.fr le Mercredi 14 octobre 2015 2 23
Ou alors est il au comble de son effroi.
Par http://www.pizzicotto.fr le Vendredi 16 octobre 2015 2 26
Encore une fois je veut entendre cet oiseau qui rit,
Ou alors est il au comble de son effroi.
Ce n'est pas moi mais le monde qui, autour de moi, coule,
Par http://www.remynovation.fr le Samedi 28 novembre 2015 2 01
Ses yeux se posa dans le vide, et les verres de ses lunettes s'embrumais.
Par http://www.30millionsdelapins.be le Jeudi 10 décembre 2015 4 40
e suis désolée, ça fait un moment qu'il est partit en vacances...
Il me l'a dit, il y a de ça plusieurs siècles.
Par http://www.lereef.fr le Lundi 18 janvier 2016 4 33
Dans la solitude nocturne, vous voyez passer les mêmes fantômes. Comme la nuit s'agrandit quand les rêves se fiancent. "
Par http://www.reportage-photographe.fr le Mercredi 20 janvier 2016 2 59
Ravie de parler avec toi !
Par victoria secret uk le Mercredi 9 mars 2016 1 39
Après tu n'es pas obligée d'en parler mais j'ai l'esprit un peu curieux ! ^^
Par http://www.reportage-photographe.fr le Vendredi 25 mars 2016 1 51
mais je n'ai pus voir un visage.
Par http://www.antiquites-carrau.fr le Vendredi 13 mai 2016 4 59
Maintenant que je n'ai plus une après midi à moi, entre les cours et le nouveau travail.
Par http://www.insula-solutions.fr le Lundi 4 juillet 2016 9 36
Zhuang Z
Par victoria secret uk le Samedi 13 août 2016 4 08
j'amais troubler leur repos...
Par Vans Pas Cher le Samedi 10 septembre 2016 5 26
Et des personnes comme toi, se font si rare.
Par http://www.musique-pour-vous.fr le Samedi 15 octobre 2016 2 40
quand les rêves se fiancent. "
 

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