Mercredi 28 mars 2012 20 25

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Le poste d'éducation se trouvait dans un édifice gigantesque, impressionnant, oppressant. De longue colonnes maintenaient la structure orthogonale. Elle regroupait un tribunal, un poste de police, un poste d'éducation et d'autre postes qu'Elgar n'avait pas le droit de connaître. Il arriva un peu avant que le jour se lève. On était dans un été chaud, sec, sans pluie. Il s'assit à proximité de la porte, mit sa tête entre ses genoux, et pensa, à la campagne, à son frère, aux arbres, aux insectes. Il se rappela des couleurs du ciel, à la tombée de la nuit dont il avait eux la chance de voir dans son enfance, avant d'être emmené de force dans la ville, avec un petit groupe de gamins terrifiés, tout comme lui. C'était censé le rassurer, ce n'était pas le cas. Il voulut pleurer, un petit peu, mais ne savait plus comment faire, il avait le tournis, il avait faim et finit par s'évanouir. Il se réveilla en sursaut, se retenu de crier, reprit lamentablement ses esprits, et regarda sa montre 5 h 55. Se leva brusquement, tomba, se releva en se tenant contre le mur, et tout ça devant la caméra ! Se força à rester debout, il ne voulait pas avoir d'intercation avec un gardien, pas maintenant. Voilà un jeune homme qui avance en titubant comme un poivrot sous une insolation. À l’exception qu'il n'était pas saoul. Devant la secrétaire, aux cernes couleur cendre et teint blafard, le chignon trop serré, et les lunettes carrée trop grande. Son air était un mélange entre une baba cool et une maîtresse tyrannique. Elgar essaya de froncer les sourcils et bégaya son nom. Un détail le déconcertait, elle ne portait pas d'uniforme. La femme ne pipa mot, et lui indiqua de son index une porte blanche avec une écriture noire, froide '' INFIRMERIE ''. Il s'en fit, la tête entre les épaules, le dos courbé d'un pas nonchalant. Le médecin le regarda d'un air indifférent, lus son dossier et l'examina. Lui donna un pain au lait sans goût, trop sec, et un verre d'eau. Le pria sèchement de partir avec une attestation de la visite et l'heure de son rendez vous, c'était dans heures plus tard. La tension sur ses épaules commençaient à se relâcher. Descendit à la cantine, elle était blanche, beaucoup trop propre pour sa sensibilité, fit un bref coup d’œil, deux controlsecuryti's rechargeaient leurs batteries, au fond de la salle. La caissière était un cyborg. Étrangement, il préférait les controlsecuryti's au cyborgs, eux, avaient une personnalité développée. Les cyborgs ne servaient jamais de compagnons ou de garde du corps. Il se commanda un café et trois croissants, vérifia qu'il n'y avait personne dans la salle de cette cantines. Il ferma les portes et éteignit la lumière. Tapota derrière la tête de la vendeuse non humaine, et la débrancha. Il n'était pas censé savoir le faire, il l'avait deviné tout seul, à force d'examiner les pièces abimée à la décharge. Il y était fasciné par tout ses objets, dont certains avait une personnalité comme les robots humains, et puis d'autre qui n'avaient jamais eut vraiment d'utilité, ou servit. A chaque fin de sa visite à la décharge, clandestinement, ça lui donnait des sueurs froides, de savoir qu'un jour il finirait comme ces robots. Il se cala derrière le comptoir, par terre, et joua aux échec en notant les coups sur un bouts de papier. Il fut brutalement interrompu par un controlsecuryti's qui venait de se réveiller. Il se tenait à côté de lui, et avait menotté sa main à la sienne.


Ca ne lui faisait pas peur, la société terrifiait déjà le peuple à longueur de journée. Alors dans les moments comme celui-ci, où l'on se rendait compte, sous le choc, que l'on à jamais rien eux à perdre. Ne s'en déconcerta pas. Aucun des deux n'avait parlé une seule fois, Elgar ayant donné son micro-code volontairement. Cela le troubla de ne pas suivre le couloir de la section police, à sa gauche. Il monta les grand escalier, disproportionné par sa grandeur, et d'une élégance beaucoup trop hautaine, fait de forme géométrique calculée, et recalculée par la perspective. Le robot s'entend son intention se lâcher par les rythmes de son cœur, ne pressa pas le pas, mais au contraire ralentit. Dans ses minuscules circuit au données faramineuse, il y avait celle, dont il était impossible de lui d'y contester la moindre seconde que plus les détenus étaient détendu, moins ils risquaient de vouloir s'enfuir. Mais sa pensée fabriquée pour être respectée, lui dit d'une voix ferme mais sans animosité, de bien continuer à le suivre. Le jeune rêveur fut surpris, la grande diversité des intonation linguistique était particulièrement nouveau. Ca le fit examiner pendant le reste du trajet, la forme du controlsecuryti's. Il était fort détaillé, d'une grande richesse, avec un disegne réfléchit. Ils avaient tous cette posture, d'homme musclé, se tenant droit. Volontairement fait d'une forme qu'aucun humain pourrait avoir, si on s'y attardait à l'observer plus attentivement. Les bras était trop long, il n'avait presque pas de hanche, et de longues jambes. Il devait bien faire deux mettre. Mais gardait les proportions accessibles au humains. D'où leurs longs membres. Tous aussi svelte les uns des autres avec des uniformes pour leurs travaux du moment ainsi fait pour cacher les faiblesses du métal et du plastique. Leurs mains était quasiment toute les mêmes. Même si leurs proportions changeaient parfois par apport à leurs tailles. Leurs visages était plus flous, avec un numéro sur la tampe. Mais chaque controlsecuryti's avait leurs propre visage, de façon subtile. C'était rare que l'on pouvait réellement s'attarder sur un controlsecuryti's. Et ça plus à Elgar. Il avait longtemps suivit l’évolution morphologiques de ses machines. Et dans l’espace immense de détritus avait rassemblé un corps entier fait de pièces trouvées par ci par là. Il n'y ressemblait que vaguement mais Elgar pouvait prendre le temps de l'examiner sur toute ses formes. Lui, il avait trouvée la section de détritus robotique, c'était fabriqué une entrée, et un coin aménagé rien que pour lui. Comme il fallait passer par la cours arrière d'une maison abandonnée, personne ne l'importunait. Le jeune rêveur fut coupé totalement dans ses rêveries quand le tas de fer et de pétrole à quasi libre pensée toqua à la porte. Troublé, son cœur commençait à palpiter.

 

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Nan mais je m'en fous que ce soit nul ou brouillon, si je l'écris là c'est surtout pour moi.

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C'est bien cela le problème, mon tendre amis. Finit-il par gémir. Plus personne ne le reconnait, ne l'entend, ou ne le reconnaitrait, un peu, comme tout ces robots, que je ne peux différencier sans leurs numéro. Si vous saviez mon jeune ami,
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Ou alors est il au comble de son effroi.
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Ce n'est pas moi mais le monde qui, autour de moi, coule,
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Encore une fois je veut entendre cet oiseau qui rit,
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Ravie de parler avec toi !
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Après tu n'es pas obligée d'en parler mais j'ai l'esprit un peu curieux ! ^^
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mais je n'ai pus voir un visage.
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Non, je ne crois pas, sinon il n'y aurait plus de raison de vivre.
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Elgar nota que sur ces mots, on remarquait plus visiblement ses veines.
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Zhuang Z
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j'amais troubler leur repos...
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Et des personnes comme toi, se font si rare.
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quand les rêves se fiancent. "
 

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